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Diapo : Quand Robert Ménard faisait l'unanimité

En 2009, à Prague, Robert Ménard participe à un colloque en faveur de la paix et de la démocratie en Asie. Il intervient au côté du Dalaï Lama. [AFP / ARCHIVES]

Alors que la campagne du second tour des élections municipales s'achève ce soir, Robert Ménard semble positionné très favorablement pour emporter la mairie de Béziers. Le cas échéant, il s'agirait là de l'aboutissement d'un parcours pour le moins inattendu.

 

Fondateur de Reporters sans Frontières en 1985, Robert Ménard fut de tous les combats pour la liberté d'expression pendant plus de 20 ans, attirant à ses côtés les figures politiques, médiatiques et artistiques les plus variées.

C'est précisément au nom de la liberté d'expression qu'il signe en 2011 avec Emmanuelle Duverger le libelle "Vive Le Pen !" dans lequel il réclame le droit de pouvoir afficher une telle conviction sans s'attirer l'opprobre médiatique. Cette publication lui attire de nombreuses critiques et lui ferme des portes professionnelles.

Mais le soutien qu'il reçoit du Rassemblement Bleu Marine dans son entreprise de conquête de la mairie de Béziers pourrait lui valoir durablement l'inimitié durable de ceux qui ont soutenu ses engagements à l'époque de RSF.

 

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