Paris donne du poids à sa candidature. La mairie de Paris a élaboré une quarantaine de mesures dans l’optique de décrocher l’organisation des Jeux olympiques de 2024.
L’idée, rapportée par le JDD, est de faciliter les déplacements des visiteurs et de permettre aux Parisiens de profiter des futures installations après la compétition. L’un des principaux défis que s’est fixée la capitale est d’améliorer «la qualité sanitaire» de la Seine et des canaux. Il pourrait en effet s’y tenir l’épreuve de natation du triathlon (1,5 kilomètre) et la nage en eau libre (10 kilomètres). Des zones de baignade pourraient même être ouvertes au public et pérennisées après les JO. Un test est prévu dès 2017 dans le bassin de la Villette.
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L’offre de transports en commun serait aussi enrichie avec la création d’une ligne de tramway passant sur les berges de Seine et s’étendant jusque dans les Hauts-de-Seine et dans le Val-de-Marne. Celle-ci desservirait le Parc des Princes, Roland-Garros, le Grand-Palais (qui accueillerait l’escrime) ou encore la tour Eiffel (beach-volley).
Le vélo vers les sites olympiques
Les différents lieux accueillant des épreuves devraient être accessibles à vélo, à grand renfort de pistes cyclables. Même en dehors de Paris, avec le Stade de France, la piscine et le village olympiques, tous en Seine-Saint-Denis. Ces voies sécurisées seraient installées sur les bords du canal. Au-delà de l’accessibilité, la capitale veut aussi mettre en place un «sentier de randonnée», qui allierait «sport et espace vert». Il permettra d’inciter les Parisiens à l’activité physique tout autour de la capitale, entre le périphérique et les boulevards des Maréchaux.
