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L’Amour est dans le pré : des choix et des absences

[© Cécile ROGUE/M6]

Le sixième épisode de L’Amour est dans le pré a réservé aux téléspectateurs son lot de rebondissements, de discussions franches, et de frustrations. Retour sur les moments forts de l’émission d’hier soir.

 

Nicolas, 34 ans, éleveur de vaches laitières dans le Morbihan

Il avait dit qu’elle était son coup de cœur au speed-dating. Mais, hier soir, Nicolas a offert à la production un scénario digne des meilleures comédies romantiques hollywoodiennes.

Dès le départ, Pauline semblait avoir les faveurs des pronostics  tant elle s’activait à la ferme. La traite des vaches ? Maîtrisée en 5 minutes. Conduire le tracteur ? Facile. Mettre la main dans le fondement d’une vache en présence du vétérinaire ? Les doigts dans le nez. Nicolas semble sous le charme.

Carine, pour sa part, est mal à son aise, sur la réserve, en retrait. Elle s’est même mise à pleurer, sentant que Pauline prenait le dessus sur elle. A tel point, que le lendemain matin, elle reste au lit. Nicolas est furieux, jure à Pauline qu’il est à deux doigts de lui demander de partir. L’affaire semble plier. Il n’en est rien.

Carine était malade (elle souffre d'une une vilaine grippe). Quand il apprend ça, Nicolas effectue un revirement à 180°, fait ses petits yeux tendres, prend sa voix de bisounours, et promet qu’il va passer du temps avec elle, et que son principal souci désormais, c’est qu’elle aille mieux.

Pauline, qui n’est pas née de la dernière pluie, comprend que le vent est en train de tourner. Le lendemain soir, alors que Carine fait un effort pour passer la soirée avec les amis de Nicolas, ce dernier lui dévoile ses sentiments. Certes, il n’a pratiquement fait aucune activité avec elle (contrairement à Pauline), certes ils n’ont pas beaucoup discuté ensemble (contrairement à Pauline), certes elle est toujours restée en retrait, (contrairement à Pauline), mais c’est elle sa préférée. Allons bon !

En plein repas, le vin aidant, Nicolas ne se prive pas pour expliquer à Pauline qu’il a fait son choix. La pauvre jeune femme est résignée, mais reste digne. Elle s’en doutait dit-elle. Les téléspectateurs ont quand même un petit pincement au cœur.

 

 

Françoise, 53 ans, éleveuse de poneys et monitrice d’équitation dans le Vaucluse

Ils sont copains comme cochons. Qui ça ? Les deux prétendants de Françoise, Thierry, le cuisto, et Jo, le marin. Ils partent faire les courses ensemble, font à manger, coupent du bois, s’amusent de tout et de rien (notamment avec la brosse à dents de l’agricultrice).

Alors oui, ils regrettent de ne pas passer assez de temps avec Françoise qui travaille avec les élèves venus prendre leur cours d’équitation. Mais la bonne ambiance règne malgré tout.

Au final, à part une possible tension concernant les absences répétées de Françoise (qui contrarie plus Jo que Thierry d’ailleurs) et le manque d’attention qu’elle accorde à ses prétendants, c’est le calme plat chez l’éleveuse de poneys.

 

 

Philippe, 46 ans, viticulteur en Charente-Maritime

Claudia est enfin là. Mais pour Philippe, qui était déjà déboussolé par la seule présence de Jackie, sa première prétendante, la situation se complique d’autant plus. Brouillon, incapable de baisser en pression ou d’avoir une conversation posée sur ce qu’il recherche et attend de cette aventure, il se pourrait bien que le viticulteur passe à côté de sa chance.

Claudia, toujours enthousiaste et motivée à l’idée de faire plus ample connaissance avec Philippe, n’a pas l’intention de faire l’impasse sur les questions concernant ses sentiments. Ce dernier est au mieux évasif dans ses réponses, ou tente de changer de sujet quand cela le met trop mal à l’aise.

Alors qu’ils se retrouvent tous à table, Claudia lui fait alors remarquer qu’il ne joue pas assez le jeu de la séduction. Jackie approuve. Et voilà Philippe qui fond en larmes expliquant qu’il ne souhaite pas les mettre en concurrence, que cette situation est difficile pour lui. 

Dans le résumé des épisodes à venir, on voidécouvre que Claudia, qui n’a décidemment pas la langue dans sa poche, ne va pas hésiter à parler à Philippe de ses problèmes de maturité, entre autres.

Pour Jackie, les choses ne sont pas vraiment claires non plus. A part la musique country, ils n’ont pas grand-chose en commun. Elle développe plus un sentiment d’amitié que d’amour à son encontre et joue les mamans de substitution à la perfection… mais ce n’est pas dit que ce soit la manière dont elle envisage son avenir avec un homme.

 

 

Didier, 41 ans, éleveur de vaches et de chèvres dans les Hautes-Pyrennées

Chez Didier, les choses avancent doucement, mais sûrement. En face de lui, il y a Nadine, une grande timide, comme lui, et Stéphanie, une jeune femme curieuse qui pense qu’il serait un père formidable pour son petit garçon. Seul ombre au tableau : est-elle vraiment prête à vivre à la ferme ?

Pour Didier, plus les heures passent, plus son choix devient évident. Il préfère l’exubérance (relative) de Stéphanie, à la timidité de Nadine. Lors d’un dîner, il leur fait d’ailleurs bien comprendre ses préférences. Reste à savoir si Stéphanie acceptera de venir s’installer avec lui dans les Hautes-Pyrennées où il vit isolé de tout ou presque. Une affaire loin d’être gagnée !

 

 

Audrey, 29 ans, éleveuse de brebis et de volailles bios dans les Hautes-Alpes

Mais où est Audrey ? Et qui est-elle au fait ? C’est la question légitime que se posent ses deux prétendants, François et Julien. A part un petit moment passé en sa compagnie dans la matinée (et encore elle travaillait sans relâche), ils ne l’ont pratiquement pas vue de la journée.

Par contre, ils ont eu tout le loisir de faire connaissance avec les futurs-beaux-parents (si jamais) avec lesquels ils ont pris un verre, fait du ski, et parlée de la pluie (enfin de la neige surtout) et du beau temps.

François, qui semblait avoir pris de l’avance sur Julien dans le cœur d’Audrey, paraît le plus touché par la situation et, à demi-mot, laisse entendre qu’il pourrait repartir d’où il vient si elle ne leur accorde pas plus de temps.

Julien, pour calmer ses frustrations, fait du sport. Il a également appelé un ami pour parler des questions que le taraudent et de ses doutes quant à ses chances avec l’éleveuse de brebis.

Quand elle rentre, le soir à 22h (elle cumule trois emplois), ils lui ont quand même préparé à manger. Mais la jeune femme a déjà picoré lors d’un repas de fin de saison avec ses collègues, et n’a donc pas très faim. Lorsqu’ils la confrontent gentiment sur la question, elle leur rappelle qu’elle les avait prévenus que cette journée serait particulière. Pas sûr que cela suffise à calmer ses prétendants.

 

Retrouvez tous les infos sur L'amour est dans le pré ici.

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