Le premier épisode de la saison 8 de L’Amour est dans le pré s’est placé en tête des audiences, hier, avec ses 5,7 millions de téléspectateurs. Retour sur une première soirée riche en événement.
Réception des courriers et speed-dating était au programme de ce premier épisode de la 8ème édition de L’Amour est dans le pré. L’émission devait aussi gérer les cas de Stéphane et Guillaume, deux agriculteurs qui, pour des raisons différentes, ont dû quitter l’aventure avant même son commencement.
Comment gérer le cas de Stéphane et de Guillaume ?
Après une introduction un peu longuette (avec des incrustations interminables sur des images bucoliques), l’émission nous conviait au restaurant en présence des 14 agriculteurs. Entre deux questions de Karine Le Marchand sur les attentes de chacun, Stéphane a été invité à expliquer son cas.
Après la diffusion des portraits, il a été contacté par une femme dont il est tombé amoureux. Aujourd’hui, il vit avec elle. On verse une petite larme, on est content pour lui (il a l’air tellement sympathique). Bravo !
Le cas de Guillaume a été géré différemment. Cet éleveur de vaches laitières en Ille-et-Vilaine avait entretenu une relation avec deux femmes après les portraits, les a conviées à s’inscrire au speed-dating, avant d’en sélectionner deux autres.
Avant de passer aux rencontres avec les prétendantes, une petite voix-off de Karine Le Marchand nous explique tout naturellement que la production a décidé de ne pas poursuivre l’aventure avec lui. Guillaume vient de réaliser un exploit : se faire larguer par une émission de télévision.
La remise du courrier
Rien que du classique pendant cette étape où chacun découvre avec émotions les lettres enflammées de leur prétendant(e)s. Et après des années de solitude, de désillusions, de « je ne crois plus en l’amour », etc… forcément, ça met du baume au cœur.
On retiendra notamment le franc-parler de Thomas qui n’hésite pas à expliquer à Karine Le Marchand que certaines «n’ont pas conscience de leur carrure». Charmant !
Les blagues incessantes de Philippe (qui est également le sosie non-officiel de Vincent Peillon) font beaucoup rire l’animatrice. Mais aussi, et surtout, la conversation de Gilles avec Karine.
Cet homme divorcé de 45 ans qui vit isolé dans la montagne a eu le droit à une grande leçon de l’animatrice qui n’a pas arrêté de le mettre en garde sur la pertinence de son choix. En gros, ne pas se concentrer que sur le physique, mais plutôt sur la sincérité. Justine reste dans toutes les mémoires.
Le speed-dating et l’arrivée à la ferme
Pauvre Damien ! Il avait sélectionné quatre prétendantes, mais seulement Elodie s’est présentée. Pis, quand la jeune femme a réalisé qu’elle allait être la seule, elle a voulu partir…avant de se raviser. Une chose est sûre, la personnalité « colérique et lunatique » de la jeune femme risque fort de déstabiliser le gentil et posé et doux et attentionné, Damien. L’un et l’autre semblaient un peu mal à l’aise dans les premiers instants à la ferme. A suivre.
Françoise, 53 ans et éleveuse de poneys, avait préparé un questionnaire très détaillé pour ses prétendants. Tu aimes Claude François ? Passe ton chemin. David Guetta ? Tu rentres chez toi. Johnny ? Tu plaisantes !
Par contre, dès que Jo, l’homme avec lequel elle a entretenu une correspondance après les portraits (elle a eu la délicatesse de prévenir ses prétendants avant de les rencontrer), a montré le bout de son nez, elle s’est adoucit et a montré un tout autre visage, celui d’une femme prête à tomber amoureuse ? Autant dire que le deuxième prétendant sélectionné risque de trouver le temps long avec ces deux là.
Enfin, Jean-Noël, le premier trufficulteur de L’Amour est dans le pré, est une source d’espoir pour les téléspectateurs. Ses choix se sont portés sur Nathalie et Sandrine, deux femmes aux personnalités très différentes, d’âges différents, et qui semblent très attirées par l’agriculteur de 48 ans (surnommé George Clooney par les prétendantes lors du speed-dating). Sans trop se mouiller, il semblerait qu’il va se passer beaucoup de choses chez Jean-Noël.