Des frasques remontant à 2013 valent à Justin Bieber une interdiction de se rendre en Argentine.
De passage à Buenos Aires en 2013 Justin Bieber, pris à parti par des paparazzis, s’était emporté contre l’un d’entre eux. Ce dernier avait par la suite porté plainte en affirmant que Justin Bieber avait donné l’ordre à ses gardes du corps de le frapper puis de lui voler son argent et son appareil photo. En 2014 le chanteur avait été convoqué dans le cadre de cette affaire pour témoigner mais ne s’était pas présenté ce qui avait lancé une procédure de demande d’arrestation.
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Contrairement à Justin Bieber qui qualifie cette histoire de «pas grand-chose», le juge en charge de l’affaire la prend au contraire très au sérieux. Trois ans après les faits qui lui sont reprochés, Justin Bieber est mis en examen pour vol et blessures légères. La star a ainsi désormais interdiction de se rendre dans le pays, en tous les cas tant qu'il n'aura pas été jugé.
Justin Bieber choqué par ce qui de dit en Argentine
L’interprète de «What do you mean» n’avait de toute façon pas l’intention de s’y rendre de sitôt. En mai dernier il avait posté ce message sur Twitter : «Beliebers d’Argentine j’aimerais tellement pouvoir venir avec le #purposetour mais le gouvernement argentin ne l’autoriserait pas. Je suis vraiment désolé» appelant ses fans argentins à se rendre dans un autre pays sud-américain où sa tournée s’arrêtera.
Pas sûr qu'ils apprécient, d'autant que Justin Bieber avait aussi offensé quelques-uns d'entre eux en donnant malencontreusment un coup de pied dans ce qui ressemblait de loin au drapeau argentin alors qu'il était en concert. Il s'était alors justifié sur Twitter : «J'ai entendu ce qui se disait sur moi en Argentine et je suis choqué. J'adore l'Argentine et j'ai connu quelques-uns de mes meilleurs concerts là-bas (...) Je suis tellement désolé pour tous ceux qui ont mal interprété mon geste et j'espère que vous pourrez me pardonner cette erreur».
«Et que vous serez patients» aurait-il pu ajouter...