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Bien choisir son maillot selon sa morpho

Culotte échancrée ou shorty, haut bandeau ou à bretelles... bien choisir son modèle dépend de sa morphologie. [VASILY MAXIMOV / AFP]

Alors qu'il y a 70 ans l'ingénieur français Louis Rérad lançait le premier bikini à l'occasion d'un défilé à la piscine Molitor, comment porter ce deux pièces devenu culte ? Et pour cause, un maillot ne se choisit pas au hasard. En fonction de sa carrure, sa taille, la forme de son corps, la largeur de ses hanches, certaines formes conviendront mieux que d'autres. Suivez le guide. 

En 2014, le deux pièces représentait  60 % des ventes selon une étude IFM / Mode City. Rien qu’en 2013, près de 9 millions de deux pièces ont été écoulés. Mais selon sa morphologie, mieux vaut parfois privilégier certains modèles. Le salon de la lingerie et du swimwear Mode City qui se tiendra du 9 au 11 juillet à Lyon dévoile, pour l’été, les modèles à porter en fonction de sa silhouette.

Carrure de sportive

Larges épaules, fesses dessinées, jambes fuselées… avec leur morphologie en pyramide inversée, les sportives ne peuvent pas tout se permettre. Mieux vaut éviter les larges bretelles qui soulignent leur carrure. A bannir également les maillots à nouer derrière le cou. Ces derniers tassent le haut du corps et accentuent la largeur des épaules. Opter pour des bretelles fines, un bandeau et des coupes simples qui mettront plus en valeur le corps sculpté par le sport.

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Petites ou fortes poitrines  

Les menues poitrines peuvent aujourd’hui compter sur les push-up pour jouer la carte de la séduction. Et pour donner du volume, les motifs, les nœuds et les froufrous seront des alliés fidèles. Les bandeaux sont également parfaitement adaptés aux petites poitrines.

Pour être encore plus sexy, les poitrines généreuses ont besoin de maintien. Bretelles et armatures sont donc conseillées. De leur côté, les décolletés en V, très nombreux cet été dans les collections, mettront les poitrines opulentes en valeur. Pour les inconditionnels du bandeau dont le maintien laisse parfois à désirer, on mise tout sur des modèles dotés de balconnets et d'armatures. Et pour les jeunes filles qui n'assument pas encore leurs formes généreuses, les deux pièces à larges bretelles estomperont quant à eux les fortes poitrines.

Petites jambes ou cuisses rondes

Pour ces deux morphologies, un seul remède. Les culottes échancrées ont le grand avantage d'allonger les jambes. Les cuisses rondes peuvent aussi opter pour des couleurs sombres qui affinent la silhouette.

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Fesses menues ou généreuses

Parce qu'on ne peut pas tout avoir, les petites fesses sont souvent le défaut des silhouettes « brindille ». Longiligne, la brindille peut opter pour des culottes taille basse dotées de froufrous, de rubans et d’imprimés pour donner une impression de volume.

Les femmes aux fesses généreuses privilégieront plutôt des coupes échancrées qui affinent ou un maillot une pièce pour attirer l'attention sur la taille. 

Hanches larges

A l’inverse de la brindille longiligne, les hanches larges ne supportent pas les froufrous, les rayures horizontales, les modèles qui se nouent sur le côté ou les shortys qui élargissent les hanches. Les couleurs foncées sont, en revanche, à privilégier car elles affinent. Le une pièce qui, depuis trois ans, opère  un retour en grâce est également fortement conseillé car il met l’accent sur la taille. En 2013, 4, 8 millions de maillots une pièce ont été vendus soit 1, 5 millions de plus qu’en 2012 (Etude IFM / Mode city). Et cette tendance ne cesse de s’amplifier. Cet été, toutes les collections arborent de jolis maillots une pièce sexy et travaillés. Alors pourquoi se priver ?

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