Le premier tour de Jo-Wilfried Tsonga ressemblait à un saut dans l’inconnu. Mais le n°1 français a parfaitement su éviter la chute, ce mardi, en maîtrisant le qualifié allemand Jan-Lennard Struff (6-3, 6-4, 6-4).
Cette qualification sans bavure lui a permis de se rassurer et surtout de ranger aux rayons des oubliettes sa blessure aux adducteurs, qui l’avait contraint de renoncer aux Masters 1 000 de Rome. «Tout va bien, je suis à 100% sur le plan physique», a-t-il assuré à sa sortie du court central, lui qui n’avait plus joué depuis son élimination son élimination au 2e tour à Madrid (5 mai). Sûr de son corps, le Manceau va devoir désormais monter en puissance.
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Car s’il s’est montré sérieux, tout n’a pas été parfait avec une performance agrémentée des hauts et de bas en raison notamment de la fraîcheur ambiante Porte d’Auteuil. «Je n’ai pas fait un grand match, a-t-il reconnu. J’aurais préféré être un peu plus précis.» Mais c’est un peu sa marque de fabrique à Roland-Garros. Ce qui ne l’a pas empêché d’atteindre le dernier carré en 2013 et pas plus tard que l’année dernière. Et il se verrait sûrement bien rééditer un parcours identique. Mais il devra d’abord se débarrasser du coriace Marcos Baghdatis au prochain tour. Ce qu’il a toujours réussi à faire en six confrontations face au Chypriote.
Jeu set et match @tsonga7 6-3 6-4 6-4 vs Struff #RG16 https://t.co/ehdRhKLyYm
— Roland Garros (@rolandgarros) 24 mai 2016