L'attaque au couteau dans un centre commercial de Sydney (Australie) qui a fait six morts ce samedi, a suscité une vive émotion au sein de la communauté internationale.
Les pensées du monde entier tournées vers l'Australie. Six personnes ont été tuées et au moins huit personnes blessées sont hospitalisées suite à une attaque au couteau ce samedi matin dans un centre commercial de Sydney (Australie). Une tragédie qui a suscité de nombreuses réactions, un peu partout dans le monde.
Dans un communiqué, le roi Charles III a réagi, se disant «horrifié» par l'agression au couteau «insensée».
«La reine Camilla et moi-même avons été choqués et horrifiés d'apprendre la tragique attaque au couteau», a-t-il déclaré, ajoutant que ses «pensées vont aux familles et aux proches de ceux qui ont été brutalement tués dans cette attaque insensée».
Le prince William et son épouse Kate Middleton ont aussi tenu à rendre hommage aux victimes : «Nous sommes choqués et attristés par les terribles événements survenus à Sydney plus tôt dans la journée. Nos pensées accompagnent tous ceux touchés, notamment les proches des victimes et les secouristes héroïques qui ont risqué leurs propres vies pour sauver les autres», ont-ils posté sur leur compte X en commun.
We are shocked and saddened by the terrible events in Sydney earlier today. Our thoughts are with all those affected, including the loved ones of those lost and the heroic emergency responders who risked their own lives to save others. W & C
— The Prince and Princess of Wales (@KensingtonRoyal) April 13, 2024
Le pape François s'est lui aussi exprimé et a expliqué être «profondément attristé» par l'attaque «insensée» au couteau, indique le Vatican.
En France, certains représentants politiques ont aussi réagi : «Solidarité avec l’Australie et pensées pour les victimes après cette attaque au couteau, mode opératoire bien connu dans nos sociétés européennes, déjà tant éprouvées par les attentats à caractère terroriste», a écrit Marine Le Pen sur son compte X.
Ce samedi après-midi, Emmanuel Macron et Gabriel Attal ne s'étaient pas encore exprimés sur le sujet.