Qu'ils soient bébés ou vieux matous, à poils longs ou courts, les chats sont connus pour avoir des moments de folie. Ils sont d'ailleurs mis à l'honneur ce mardi 8 août à l'occasion de la journée internationale du chat. Mais qu'en est-il du vôtre ? Est-il simplement fantasque ou au contraire un vrai psychopathe ? Pour le déterminer, l'université John Moores de Liverpool (Royaume-Uni) a publié une étude dédiée.
Grâce à un questionnaire en ligne (disponible ici), basé sur un algorithme doté de caractéristiques précises, vous pourrez ainsi savoir si votre félin a un petit grain de folie ou s'il est un réel déséquilibré.
Mais attention, psychopathe est un terme qui ne sied pas à toutes les boules de poils.
Le mode Chat fou a été activé.pic.twitter.com/PurH1wtAZD
— EmmaFleurot Parker (@emmafarrjar) February 15, 2021
Ce trouble de la personnalité peut en effet révéler des attitudes violentes, des moments d'absence ou encore un comportement égöiste.
Pour autant, si les chats ne sont pas tous des fous dangereux, de premières recherches scientifiques tendent tout de même à prouver que tous les félins «seraient susceptibles d'avoir au moins un élément de psychopathie dans leur comportement».
Forts de ce constat, les chercheurs de l'université John Moores ont donc établi un questionnaire bien précis, de manière à établir si le comportement de son chat peut être géré seul ou au contraire nécessiter une réelle prise en charge.
46 questions
Dans ce test, le propriétaire du félin devra par exemple répondre à des questions telles que : mon chat tourmente-t-il sa proie plutôt que de la tuer tout de suite ? Démontre-t-il des changements d'humeur brutaux ? Apprécie-t-il les caresses ?
L'une des principales chercheuses à l'origine de l'étude, Rebecca Evans a expliqué que ce test permettrait en outre d'aider la recherche et également les vétérinaires, dans le suivi de leurs patients aux yeux perçants.
Mon chat c’est un fou pic.twitter.com/WH6iIbzpGX
— esther ४ (@sthrbbs) August 29, 2019
La relation avec l'homme est aussi déterminante dans le comportement du chat. L'abandon et la maltraitance dans les premiers mois peuvent notamment conduire à une accentuation de l'agressivité de l'animal par la suite.