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Melania Trump réclame 150 millions de dollars au Daily Mail

Les propos du journal auraient fait perdre plusieurs millions à la Première dame. [MANDEL NGAN / AFP]

La première dame américaine Melania Trump exige réparation après des propos du Daily Mail qu'elle juge diffamatoires.

Le journal avait déclaré, lors de la campagne présidentielle, que Melania Trump avait travaillé comme escort-girl dans les années 1990. Le Daily Mail avait publié ces informations en août 2016, se basant sur les spéculations d'un magazine slovène. Celui-ci affirmait que Trump soutenait, dans les années 1990, une agence de mannequins qui proposait des services d'escort. Le parallèle avec Melania Trump, mannequin à succès à l'époque, avait donc rapidement été fait.

Un blogueur concerné par ses accusations

La femme de Donald Trump demande cent cinquante millions de dollars, soit près de cent quarante millions d'euros, de dommages et intérêt à la société Mail Media, l'éditeur de presse du Daily Mail.

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Elle avait déjà porté plainte contre le journal, ainsi que le blogueur américain Webster Tarpley, le 1er septembre 2016, devant un tribunal du Maryland. Le blogueur avait été obligé de verser une «somme conséquente» à la Première dame pour ses propos diffamatoires, explique LCI. Il avait également publié un communiqué où il reconnaissait avoir diffusé des informations mensongères. La plainte visant le Daily Mail avait, quant à elle, été rejetée.

Des accusations qui porterait «atteinte à sa légitimité»

L'avocat de Melania Trump, Charles Harder, a alors décidé de saisir un tribunal de New York. Il affirme que ses allégations ont causé la perte de plusieurs millions à la Première dame, qui s'apprêter à lancer sa marque «Melania», composée de bijoux, de cosmétiques ou encore de chaussures. Il a également expliqué que les propos diffamatoires du Daily Mail porteraient gravement «atteinte à sa légitimité à exercer la fonction de Première dame des États-Unis».

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C'est la première fois qu'une «First Lady» fait comparaître un éditeur de presse devant une Cour suprême, comme le fait remarquer Gala.

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