En direct
A suivre

Les nouvelles technologies utilisées sans scrupules pour rompre

illustration (crédit photo : pedrosimoes7 sous licence creative commons) illustration (crédit photo : pedrosimoes7 sous licence creative commons)

Une étude américaine a analysé l’impact des nouvelles technologies sur les relations amoureuses, du début de flamme jusqu’à la rupture. Elle révèle que 17 % des jeunes adultes américains admettent  avoir déjà rompu par texto tandis que le quart l’a fait par e-mail. Une fois la love story terminée, la moitié se sert des réseaux sociaux pour "surveiller" leur ex.

 

On savait les réseaux sociaux et les smartphones utiles pour garder le contact en toutes circonstances avec ses proches, sa famille ou l’être aimé. Mais, en matière d’amour, ces technologies sont également très utilisées par les jeunes américains pour rompre avec leur moitié et les espionner ensuite.

C’est ce que révèle un cabinet d'études, le Pew Institute, dans son enquête sur l'impact des  nouvelles technologies et des smartphones sur les relations amoureuses, publiée la semaine dernière. 

 

Le mail comme lettre de rupture

Près d’un américain sur six a déjà quitté sa moitié, ou s’est déjà fait éconduire, par texto, e-mail ou par les réseaux sociaux. Pour arriver à ces résultats, les analystes de Pew ont interrogé 2.252 américains via des sites de rencontres en ligne et en analysant les données des principaux moteurs de recherche.

Leurs résultats montrent que ce sont les adultes âgés entre 18 et 29 ans qui ont le moins de scrupules à utiliser les nouvelles technologies pour rompre une relation amoureuse. Ils sont ainsi 22% à admettre avoir mis fin à une histoire de cœur par email, SMS ou une messagerie instantanée (contre 16% des 30-49 ans et 7% des 50-64 ans).

Beaucoup plus décomplexés que leurs ainés, les jeunes adultes sont 17% à avoir déjà rompu par texto tandis que près d’un quart d’entre eux l’a déjà fait au moins une fois par mail.

 

Espionner son ex

L’étude Pew confirme que les nouvelles technologies rapprochent les gens… même ceux qui ne veulent plus être ensemble. Les réseaux sociaux sont d’une efficacité redoutable pour "suivre" l’état de ses ex.

Les 18-29 ans sont ainsi 48 % à "checker" régulièrement le statut Facebook ou autre de leurs amours anciennes.  Un comportement qui concerne 31 % des 30-49 ans, un chiffre encore élevé.

Par extension, 22 % des personnes interrogées, toutes catégories d’âges confondues, ont ainsi enlevé de leur liste d’amis, voire bloqué, un(e) de leur ex de leurs réseaux sociaux.

 

Les relations au travail se sont dégradées pour 74 % des actifs

Atanase Périfan lance la Fête des voisins au travail

Taille du pénis : les Français dans la moyenne

 

À suivre aussi

Ailleurs sur le web

Dernières actualités