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Les 3 infos majeures, hors coronavirus, du samedi 28 mars

Figure de la lutte pour les droits civiques des noirs aux Etats-Unis, Joseph Lowery est décédé à l'âge de 98 ans.[Mike Zarrilli / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / Getty Images via AFP]

Si l’épidémie de coronavirus et l’état de crise dans laquelle elle a plongé le monde attirent toutes les attentions, l’actualité se poursuit malgré tout aux quatre coins du globe. CNEWS a regroupé les informations majeures de la journée, qui ne sont pas liées au Covid-19.

Le reverend Joseph Lowery EST MORT

Figure de la lutte pour les droits civiques des noirs aux Etats-Unis, Joseph Lowery est décédé à l'âge de 98 ans. Il avait co-fondé avec Martin Luther King la Conférence des Eglises Baptistes du Sud. Plusieurs fois arrêté pour son combat contre les discriminations raciales, il était considéré comme le «doyen des droits civiques» par la National Association for the Advancement of Coloured People (NAACP).

En 2009, il avait été choisi pour prononcer une bénédiction à l'investiture de Barack Obama.

Un important chef rebelle tchadien remis en liberte en france

Le général Mahamat Nouri, opposant au Président Idriss Déby Itno, a été remis en liberté. Depuis juin 2019, il était mis en examen dans le cadre d'une enquête pour «crimes contre l'humanité» et «participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d'un crime contre l'humanité».

Il est soupçonné d'avoir «diligenté des opérations de recrutements forcés de combattants, dont des mineurs», au Tchad et dans la province frontalière soudanaise du Darfour entre décembre 2005 et juillet 2010.

L'enquête est toujours en cours.

Le «OUI» l'emporte dans un referendum conteste en guinée

La Commission électorale de Guinée a annoncé que le «oui» l'avait emporté pour le Référendum constitutionnel du 22 mars, avec un taux de participation de 61%.

L'opposition a rejeté ce résultat et réclamé une enquête sous l'égide des Nations-Unies. Le jour du scrutin, des violences intercommunautaires ont éclaté entre chrétiens et musulmans. Le président Alpha Condé, au pouvoir depuis 2010, est accusé de modifier la Constitution pour ses intérêts. Ses opposants ont refusé de participer au scrutin.

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