La première campagne de suivi de la qualité de l’air depuis la fermeture des voies sur berge, est lancée ce mardi par Airparif.
L’air va être passé au microscope. Pendant quatre semaines, l’association de surveillance de l’air francilienne va en effet renforcer son réseau permanent de capteurs dans la zone.
Pour cette campagne exceptionnelle, plus de 80 points de mesure éphémères – soit un capteur tous les 300 mètres – et trois nouvelles stations de relevés automatiques, seront installés sur la rive droite de la Seine ainsi que sur le boulevard Saint-Germain (7e).
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«Il s’agit d’étudier plus finement la qualité de l’air sur le secteur concerné par la piétonnisation des voies sur berges», explique Charlotte Songeur, ingénieur Airparif.
Selon elle, cette première campagne de suivi permettra de déceler d’éventuels «points critiques», avec des taux élevés de particules fines et de dioxyde d’azote.
Il faudra ensuite attendre la deuxième campagne de suivi, l’été prochain, pour pouvoir comparer les résultats et en tirer des conclusions «à plus long terme».
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— Airparif (@Airparif) 27 octobre 2016