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Terrorisme : un mineur de 15 ans soupçonné de pouvoir "passer à l'acte" arrêté

Photo d'illustration. [Archives AFP]

Un mineur de quinze ans, soupçonné de pouvoir "passer à l'acte", a été arrêté samedi à Paris dans un contexte de menace terroriste "maximale", peu après le démantèlement d'un commando de femmes jihadistes soupçonné de préparer une attaque imminente.

Interpellé à son domicile dans le XIIe arrondissement de la capitale, l'adolescent avait fait l'objet d'une perquisition administrative et d'une assignation à résidence dans le cadre de l'état d'urgence instauré après les attentats du 13 novembre, les plus meurtriers jamais perpétrés en France, a précisé dimanche une source proche de l'enquête.

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L'ombre de Daesh

La menace terroriste s'était traduite samedi par des messages d'alerte concernant plusieurs sites sensibles à Paris (commissariats et lieux publics), selon autre une source proche de l'enquête.

Cette interpellation repose la question du pilotage à distance des projets d'attentats par le groupe terroriste Daesh, et en particulier du rôle de Rachid K., Français parti faire le jihad et qui appelle régulièrement, via internet, à frapper la France.

Le mineur arrêté était entendu dimanche en garde à vue par les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), près de Paris. "Il est interpellé car on s'interroge sur un possible passage à l'acte en réponse aux appels à attaquer la France depuis la Syrie", selon une source proche de l'enquête.

Le mineur arrêté était entendu dimanche en garde à vue par les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), près de Paris.

"Il est interpellé car on s'interroge sur un possible passage à l'acte en réponse aux appels à attaquer la France depuis la Syrie", selon une source proche de l'enquête. Cette source a précisé que le mineur était en contact via Telegram, messagerie internet sécurisée appréciée des jihadistes pour sa confidentialité, avec Rachid K..

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