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Le cannabis «ça fait perdre la mémoire» : Luis Fernandez répond à Bernard Lama

Luis Fernandez n'est pas du genre à se laisser critiquer sans répliquer. [FAROUK BATICHE / AFP]

Luis Fernandez, égratigné par son ex-gardien au PSG Bernard Lama dans une interview, l'a renvoyé mercredi à sa suspension pour consommation de cannabis en 1997 en espérant qu'il n'avait pas «replongé» car «ça fait perdre la mémoire».

«Salut Bernard, à notre grand souvenir!! J'espère que tu n'as pas replongé... Fais gaffe ça fait perdre la mémoire», a twitté l'actuel consultant de beIN Sports. Fernandez a accompagné son message d'une photo où l'on voit l'entraîneur qu'il était porter sur ses épaules Lama, son capitaine au PSG, brandissant le trophée de la Coupe des Coupes remporté en 1996. Ce cliché présente un lien vers un article de Libération d'avril 1997 à propos du contrôle antidopage positif au cannabis du gardien.

Dans un entretien au mensuel So Foot de mars, Bernard Lama (53 ans) a lâché sur son entraîneur au PSG (1994-1996): «C'était le folklore. Fernandez, c'est un entraîneur de coupes, pas un entraîneur de stabilité. Toutes les semaines, fallait qu'il change l'équipe. C'est quelqu'un qui n'a pas compris où il était. C'était trop haut pour lui. Intellectuellement, il y avait un décalage». «Dans la gestion humaine, il était à côté de la plaque», ajoute l'ancien portier.

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Fabien Barthez égratigné

Lama (44 sélections entre 1993 et 2000) critique également son concurrent dans l'équipe de France des années 1990 en lâchant sur Fabien Barthez: «C'est un bon soldat! Il est blanc, pas très intelligent, il ne fait pas trop d'histoires, il a été le chouchou à une époque mais aujourd'hui, on ne l'appelle pas pour parler de football».

Il s'en prend également à d'anciens équipiers au PSG de la saison 1998-99, l'attaquant italien Marco Simone et le défenseur allemand Christian Wörns: «Simone, c'est un gros con qui se la racontait. Wörns touchait un gros salaire mais c'était un lâche. Il était limité et ne savait faire que le marquage individuel».

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