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Carburants : dates, stations concernées… Tout savoir sur «l’opération prix coutant» qui va commencer chez E.Leclerc

Les 750 stations-service du groupe E.Leclerc seront concernées par l'opération. [Gonzalo Fuentes/REUTERS]

Le patron du groupe E.Leclerc, Michel-Édouard Leclerc a annoncé ce mardi 26 septembre le lancement d'une opération «prix coûtant» pour le carburant distribué à travers la France dans les 750 stations-service de son enseigne.

Une annonce forte pour aider les Français face à la hausse des prix à la pompe. Ce mardi 26 septembre, Michel-Édouard Leclerc, patron de la grande enseigne E.Leclerc a annoncé la mise en place d’une opération «prix coûtant» dans les stations-service de son enseigne.

Une opération qui confirme l’acceptation de la proposition d’Emmanuel Macron, qui a appelé à la vente du carburant à prix coûtant. Comme l'a expliqué Michel-Édouard Leclerc sur X, anciennement Twitter, l'opération commencera dès le 29 septembre prochain.

«À partir du 29 septembre, les 750 stations-service des hypermarchés E.Leclerc vendront quotidiennement l'essence à prix coûtant. Ça veut clairement dire sans profit et tous les jours, pas seulement les week-ends comme lors de nos opérations précédentes», a-t-il publié sur son compte X, ajoutant également que «cette initiative est un acte de solidarité à l'égard de tous les clients effrayés par les hausses et dont le pouvoir d'achat est très impacté».

Une rencontre avec les raffineurs et distributeurs à Matignon

Plusieurs concurrents de E.Leclerc ont annoncé la mise en place d’un prix coûtant pour le carburant, mais sous diverses conditions. Intermarché et Casino ont, par exemple et pour l'heure, annoncé la vente d’un carburant à prix coûtant uniquement le week-end.

De son côté, le groupe U a annoncé par l’intermédiaire de son patron, Dominique Schelcher, qu’il y aurait des opérations de ce genre mais que «ça ne sera pas du prix coûtant permanent».

Ce mardi 26 septembre à 17h30, Elisabeth Borne recevra à Matignon les raffineurs et professionnels du carburant, alors que l'État souhaitait que ces derniers vendent du carburant à perte.

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