Ebanie Bridges est connue pour être une boxeuse professionnelle australienne. Mais elle n’hésite jamais à partager sa silhouette sur les réseaux sociaux. Comme la semaine passée lorsqu’elle a posté une photo de sa poitrine, affirmant avec ironie que celle-ci avait grossi à cause du vaccin contre le Covid-19.
«Merde Pfizer», a écrit la jeune femme, accompagnant son message d’un cliché de son décolleté très suggestif. «Je ne vais pas mentir, j’ai l’impression que mes seins sont énormes ces derniers temps… Ça doit être à cause du vaccin, tout commence à avoir un sens», a ajouté par la suite la boxeuse, surnommée «Blonde Bomber», toujours sur son compte Twitter.
— Blonde Bomber (@EbanieBridges) January 5, 2022
De cette manière, elle a voulu répondre aux personnes et à un article qui affirment que le vaccin avait pour effet secondaire de faire gonfler les seins de femmes. Ebanie Bridges, qui avait décidé de commencer «2022 de la même manière que je suis entrée en 2021, sans me soucier de ce que les gens pensent», avait déjà fait parler d’elle en début d’année sur Instagram.
Elle avait vu l’une de ses publications, où elle posait seins nus avec des gants de boxe pour cacher sa poitrine et en string pour souhaite «bonne année» à ses followers, être supprimée pour avoir enfreint les règles du réseau social. Elle s’est ensuite plainte des «trolls» qui ont signalé sa publication.
Woke up and it’s 2022
HAPPY NEW YEAR
Thought I’d start it with a BANG
I Will be going into 2022 the same way I entered 2021 not giving a fuck what people think, being me, being real, chasing my dreams and aiming to achieve greatness#HappyNewYear #NYE #NY #BlondeBomber pic.twitter.com/iNwgrV0VKr— Blonde Bomber (@EbanieBridges) December 31, 2021
Sur le plan sportif, Ebanie Bridges affiche sept victoires en huit combats, dont la dernière en septembre à Leeds (Angleterre) contre Maïlys Gangloff, championne de France professionnelle des poids coqs. Sa seule défaite a été enregistrée, en avril, face à la Britannique Shannon Courtenay pour la ceinture WBA des poids coqs, sur décision unanime des juges après avoir eu le visage défiguré.