Le parcours parlementaire se poursuit pour le projet de loi Macron qui arrive pour la dernière fois au Sénat mardi.
Majoritairement à droite, la chambre haute compte, comme en première lecture, modifier le texte en lui ajoutant des mesures telles que la simplification du compte pénibilité ou encore en retoquant la loi Hamon sur la transmission des entreprises.
Mais c’est bien l’Assemblée nationale qui scellera le sort du projet de loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques. Son adoption définitive est prévue d’ici au 14 juillet. Le gouvernement pourrait d’ailleurs encore une fois choisir de recourir à l’article 49-3 pour imposer son texte.