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Brigitte Bardot : ces 5 raisons qui font d’elle une icône

Brigitte Bardot a enregistré le tube «Harley Davidson» en 1967 avec Serge Gainsbourg. [UPI / AFP]

Brigitte Bardot s’est imposée, dès le début de sa carrière, comme une personnalité française et mondiale incontournable. Alors que la série «Bardot» se lance sur France 2, voici les 5 raisons qui font d’elle une icône mondiale.

Le cinéma

Deux films, plus que tous les autres (48 au total), ont permis d’ériger Brigitte Bardot au rang de star internationale, de sex-symbol, de femme fatale et anticonformiste : «Et Dieu créa la femme» de Roger Vadim en 1956, et «Le Mépris» de Jean-Luc Godard en 1963.

La scène de danse dans le premier et sa sensualité débordante dans le second, avec ce dialogue inoubliable – «Tu les trouves jolies mes fesses ?» - avec Michel Piccoli feront d’elle un mythe vivant.

Saint-Tropez

C’est en 1958 que Brigitte Bardot, sur les conseils de sa mère, visite La Madrague, une demeure qui donne sur la plage des Canoubiers à Saint-Tropez (Var). Elle l’achète dans la foulée, transformant cette petite ville de pêcheurs en haut lieu de la jet-set. En 1963, harcelée par les paparazzis, et par les touristes trop curieux, Brigitte Bardot obtiendra l’autorisation de faire installer des poteaux de protection afin de les tenir à distance.

La chanson

En 1963, Brigitte Bardot interprète «La Madrague», chanson rendant hommage à sa maison de Saint-Tropez. Un tube qui restera son morceau préféré sur les plus de 70 titres qu’elle va enregistrer. En 1967, alors qu’elle est mariée avec le photographe Gunter Sachs depuis un an, elle accepte d’enregistrer le morceau «Harley Davidson» avec Serge Gainsbourg. Elle entame avec lui une relation extra-conjugale qu’elle qualifie elle-même d’«immense passion».

Effrayée que son mariage n’y survive pas, Brigitte Bardot lui demande de ne pas sortir le morceau «Je t’aime… moi non plus». Elle interprètera par la suite d’autres tubes de l’artiste, notamment «Bonnie and Clyde» et «Comic Strip».

La mode

Avant Pamela Anderson et Kim Kardashian, il y a eu Brigitte Bardot. La mode et les people n’étaient pas encore tendance que la comédienne s’imposait déjà comme le modèle à suivre pour des millions de jeunes femmes à travers le monde. C’est avec Arlette Nastat, la créatrice de Real rencontrée en 1956, que Brigitte Bardot développe un style vestimentaire unique à l’époque, avec la robe vichy ou le pantalon corsaire. Ensemble, elles vont créer la ligne de vêtement «La Madrague» dans les années 1970.

La défense des animaux

Brigitte Bardot s’engage contre les pistolets d’abattage dans les abattoirs dès 1962. Au début des années 1970, elle se lance dans la défense des animaux au côté d’Allain Bougrain-Dubourg, avant de dénoncer la chasse aux phoques qui débouchera, en France, par la décision du président de l’époque, Valery Giscard d’Estaing, d’interdire l’importation de peaux de phoques en France le 15 mars 1977. En 1986, elle crée la Fondation Brigitte-Bardot pour la protection des animaux qui sera reconnue d’utilité publique en 1992.

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