«Ordre et beauté, luxe, calme et volupté.» Le vers de Baudelaire sied à merveille à la pop envoûtante de Frànçois and the Atlas Mountains qui invite, par des titres rayonnants, à des voyages riches en couleurs.
Percussions façon musique du monde, arrangements à l’anglo-saxonne, paroles en français et en anglais s’attardant sur des désirs sensuels ou des amours déçus, portées par la voix langoureuse et androgyne de François Marry. Originaire de Saintes (17), installé un temps à Bristol, le fondateur du groupe puise de ses séjours à l’étranger une inspiration cosmopolite.
Après "Plaine inondable" (2009), "E Volo Love" (2011) et "Piano Ombre" (2014), le prochain album, attendu pour 2017, pourrait explorer des fantaisies africaines, les membres du groupe ayant récemment visité le Sénégal, le Bénin ou l’Ethiopie. Sur scène, leur énergie devrait faire des étincelles, ce week-end, au Macki Music Festival dans les Yvelines, à un quart d’heure de RER de Châtelet.