Elle est un peu la «peste» de cette édition du Bachelor. Elodie revient pour DirectMatin.fr sur son aventure, évoque ses projets, et accessoirement, révèle que Paul est en couple.
Comment vous êtes-vous retrouvez à participer à cette émission ?
Déjà, il faut savoir que j’avais suivi les premières éditions quand j’étais adolescente, et c’est une émission qui me faisait rêver. Et j’ai tout simplement rencontré une «casteuse» alors que j’étais dans un restaurant branché à Paris.
Elle m’a dit que je correspondais tout à fait au type de filles qu’ils recherchaient et elle m’a proposé de passer le casting. Je me suis très bien entendue avec elle, on a eu un super feeling donc je me suis dit «pourquoi pas». Et je me suis fait embringuer dans cette folle aventure.
Avez-vous abordé cette aventure en pensant trouver l’amour ?
Au départ, quand je me lance dans l’aventure, je me dis que tout est possible et qu’on peut rencontrer l’amour n’importe où. Moi j’y crois, je suis une rêveuse. Mais après, je me dis qu’il faut quand même qu’il me plaise, qu’il y ait une alchimie entre nous, et ça, ce n’est pas quelque chose qu’on peut forcer. Cela doit venir naturellement.
Parlez-nous de l’ambiance entre les filles pendant le tournage ?
Quand j’arrive le premier soir, on est 25. Je suis dans le salon, face à toutes ces filles, et je me dis que cela va être très, très difficile de cohabiter et de devoir supporter tout le monde. Je sais que ça va être compliqué.
Après, il y a des affinités qui se crée immédiatement. Et très rapidement, on se rend compte aussi de certaines personnalités, des filles avec lesquelles je m’entendais bien au départ qui se sont révélées être fausses. Moi, je suis quelqu’un de très franc, de naturel, et je n’ai jamais menti sur ce que j’étais, et donc j’ai forcément eu un peu de mal avec les filles qui l’étaient moins. Il y a eu beaucoup de tensions vis-à-vis du Bachelor. Un homme, on est toute là pour le même, plus le temps passe, plus les sentiments évoluent, on commence à s’attacher, et donc à se tirer dans les pattes, et… je sais que je suis un peu peste, je dois l’avouer (rires).
Et du coup, je ne me laisse pas marcher dessus, et je dis toujours ce que je pense. Ce qui ne plaît pas forcément. Après, il y a des filles avec qui je me suis extrêmement bien entendu aussi, et il y a de très belles amitiés qui se sont créées… et des moins belles (rires).
Et comment cela se passe quand les caméras ne sont pas là ?
Hors caméras, cela se passe exactement de la même façon que quand elles sont là. C’est vrai qu’on les sent les premiers jours, puis après, pour ma part en tout cas – car les caméramans sont des gens avec qui on s’entend bien et ils font partie de l’aventure au même titre que les filles finalement – et donc on ne les voit plus.
Résultat, l’ambiance est la même. Il y a toujours des disputes, mais on rigolait aussi, on faisait la fête, donc pas vraiment de changement. Après, il y a des filles qui étaient différentes. Mais en règle générale, c’était pareil.
Le départ d’Anaïs était-il un soulagement ?
Pour ma part, quand les filles ont décidés d’aller voir Paul pour lui dire qu’Anaïs n’était pas sincère...
…chose dont on n’en est pas certain du point de vu des téléspectateurs…
Oui mais nous on le sait, ce n’étais pas un hasard. On peut croire que les filles ont fait cela par jalousie, mais pas du tout. C’est juste la vérité qui a été rétablie.
Quand on est dans ce type d’aventure, on sait qu’on n’est pas toutes franches, que certaines vont jouer, etc… mais après, au point qu’elle avait quelqu’un à l’extérieur et qu’elle ment à ce point, ce n’est pas quelque chose qui a été très appréciée. Personnellement, je ne la voyais pas comme quelqu’un de très dangereux, c’est pour ça que je n’ai pas voulu prendre part à cela.
C’était un soulagement parce qu’on voulait être entre filles plus ou moins sincères et qu’on n’avait pas envie d’être entouré de filles qui ne l’étaient pas et qui souhaitaient juste passer à la télévision.
Certains disent que vous êtes la peste de cette saison du Bachelor. Votre réaction ?
C’est vrai que dans la vie de tous les jours, je suis quelqu’un d’assez gentil et agréable, et je ne pense pas être peste à ce point. Après, on est rarement entouré de 20 filles avec lesquelles on vit 24h/24. Ce n’est pas évident, il faut le réaliser. Après, j’ai beaucoup de caractère et je ne suis pas du genre à me laisser marcher dessus. Et c’est surtout ça qui a été mis en avant.
Mais cela ne me dérange pas parce que c’est un trait de ma personnalité. Cela ne résume pas qui j’y suis, mais ça fait partie de ma personnalité. Après, dans la vie de tous les jours, je ne suis pas une peste.
C’est le contexte particulier de l’émission qui crée cette impression en somme…
On est entouré d’une vingtaine de femmes. En plus, j’ai été plutôt apprécié par Paul, donc j’ai été un peu mise en avant. Du coup, certaines filles me titillaient toute la journée, et au bout d’un moment on explose. On a envie de dire « lâche moi, laisse-moi vivre, arrête de me coller toute la journée pour m’empoisonner la vie ». Je suis juste quelqu’un qui ne se laisse pas faire.
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