Les clients chinois sont très exigeants. Un possesseur de Maserati, mécontent du service après-vente de la marque italienne, a mis en scène la destruction de son véhicule, estimé tout de même à plus de 100.000 euros.
Un différend qui coûte cher à M. Wang. Mais ce riche propriétaire d'une Maserati Quattroporte est têtu. Plutôt que de perdre la face et s'estimant dans son bon droit, il décide de détruire en public sa luxueuse berline.
M. Wang refuse de donner raison au service après-vente de la marque italienne. Il estime que Maserati Chine l'a facturé trop cher lors de réparations et que son véhicule est même ressorti rayé de la concession. Maserati, pour sa part, assure que l'entreprise et que le concessionnaire mis en cause ont répondu aux plaintes du client.
Mais M. Wang a de la suite dans les idées : il décide de la destruction de son véhicule en place publique. Il engage donc quatre gros bras qu'il arme de masses pour qu'ils frappent sur la voiture de toutes leurs forces, le jour de l'inauguration du salon de l'automobile de la ville de Qingdao, dans l'est de la Chine. Une banderole, placée sur la voiture, explique les manquements présumés de la firme italienne.
Un petit caprice qui coûte cher au propriétaire du bolide, puisque la voiture est estimée à au moins 100.000 euros. Pas gratuit de défendre son honneur...
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