Près d’un an les attentats du 13 novembre 2015, une vingtaine de victimes sont toujours hospitalisées.
Onze sont en hôpital de jour, c'est-à-dire qu'elles ne dorment pas à l'hôpital mais viennent effectuer des soins, et neuf le sont encore à temps plein selon Juliette Méadel, la secrétaire d'Etat à l'aide aux victimes. 600 personnes sont également suivies pour des troubles psychologiques.
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Il y a 1.774 victimes directes des attentats du 13 novembre d'après la secrétaire d'Etat. Au total, 2.800 dossiers de demande d'indemnisation ont été déposés devant le Fonds de garantie des victimes d'actes de terrorisme et d'autres infractions (FGTI). Sur ces 2.800 dossiers, 90% ont reçu des débuts d'indemnisation et 280 un règlement définitif.
Polémique sur l'indemnisation au barême
Une polémique avait éclaté fin octobre autour d'une indemnisation définie par un barème alors que les associations de victimes réclament une indemnisation au cas par cas, craignant qu'une «barèmisation» limitent leur accès à une «réparation juste».