![Une photo de Jessica Schneider et Jean-Baptiste Salvaing exposée au ministère de l'Intérieur lors de l'hommage que leur est rendu le 15 juin 2016 à Paris [Kamil Zihnioglu / POOL/AFP]](http://static.cnews.fr/sites/default/files/directmatin/image_placeholder_rect_basic.gif "Une photo de Jessica Schneider et Jean-Baptiste Salvaing exposée au ministère de l'Intérieur lors de l'hommage que leur est rendu le 15 juin 2016 à Paris [Kamil Zihnioglu / POOL/AFP]")
Les enquêteurs tentaient d'établir jeudi si Larossi Abballa avait bénéficié de complicités et pourquoi il a ciblé ce commandant de police.
Trois hommes interpellés mardi étaient toujours jeudi matin en garde à vue, le parquet devant décider s'il les prolongeait de 48 heures supplémentaires. Âgés de 27, 29 et 44 ans, ils font partie de l'entourage du meurtrier Larossi Abballa. Deux d'entre eux avaient été condamnés avec lui en 2013 dans une affaire de filière jihadiste vers les zones tribales pakistano-afghanes.
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Les enquêteurs tentent notamment d'établir si Abballa a agi seul ou s'il a bénéficié de complicités dans la préparation ou dans l'exécution de l'attaque. Les enquêteurs espèrent aussi puiser des informations dans le matériel informatique et téléphonique saisis chez les trois gardés à vue, ainsi que dans celui d'Abballa trouvé chez ses parents et celui avec lequel il a mis en ligne sa vidéo de revendication depuis le domicile du policier.