Le guide Michelin s’est montré particulièrement généreux cette année. Pas moins de trois tables ont rejoint le club très fermé des 3 étoiles. Parmi les élus figure Christopher Coutanceau, installé à la Rochelle, qui a souvent été salué pour sa cuisine issue d’une pêche durable.
Glenn Viel a également décroché la graal à l’Oustau de Baumanière en Provence. Enfin à Paris, c’est le chef Kei Kobayashi qui a été distingué. Il s’agit du premier Japonais à recevoir trois étoiles en France.
Côté 2 étoiles, on citera la cheffe Stéphanie Le Quellec qui fait directement son entrée dans cette catégorie avec son restaurant la Scène (Paris, 8e). L’Atelier de Joël Robuchon Étoile (Paris 8e) et L’Abysse au Pavillon Ledoyen (Paris 8e) la rejoignent.
Enfin, il y a 49 nouveaux 1 étoile dans l'édition 2020. Parmi eux, les Apothicaires à Lyon ou encore Holen à Rennes. A Paris, 18 tables reçoivent cette distinction : Jacques Faussat, le Jules Vernes, le Rimarol, le Sergent recruteur....
La cérémonie s'est déroulée dans une ambiance détendue lundi 27 janvier au Pavillon Gabriel à Paris. Elle était présentée par Audrey Pulvar et en présence du nouveau directeur du guide, Gwendal Poullenec.
Petite nouveauté : cette année le guide rouge a distingué une cinquantaine de tables vertes pour leur engagement en faveur d’une gastronomie durable dont l’Aponem d’Amélie Darvas ou encore le Mirazur de Mauro Colagreco.
Quant au guide papier, qui recense 3439 restaurants au total, il sortira le 31 janvier prochain au prix de 24,90 euros.