En direct
A suivre

«Mercredi» : Jenna Ortega promet une saison 2 très différente de la première

Jenna Ortega est désormais une des productrices de la série. [© Netflix]

Dans une conversation avec Elle Fanning organisée par le site américain Variety, Jenna Ortega a donné des détails intéressants concernant la saison 2 de «Mercredi», la série de Tim Burton dont elle est devenue une des productrices exécutives.

Le pouvoir de choisir. Jenna Ortega a éclaboussé de son talent la première saison de «Mercredi», au moment de son lancement le 23 novembre dernier. Désormais productrice exécutive de la série, la comédienne de 20 ans a décidé de s’impliquer personnellement dans la suite des aventures de la fille de Gomez et Morticia Addams. C’est dans une conversation avec Elle Fanning organisée par le site américain Variety qu’elle a ainsi dévoilé les principaux changements auxquels les fans devront s’attendre dans le second chapitre prévu pour le 6 juillet prochain, et que l’on pourrait résumer ainsi : plus d’horreur, moins d’histoire de cœur.

«Nous avons décidé de plus nous reposer sur l’aspect horrifique de l’histoire. Parce que tout cela est d’une légèreté, et dans une série comme celle-ci avec des vampires, des loups-garous, et des superpouvoirs, il ne faut pas se prendre trop au sérieux», explique-t-elle. « Nous avons coupé toute dimension romantique pour Mercredi, ce qui est une excellente chose», poursuit-elle, en référence au triangle amoureux de son personnage avec Tyler Galpin et Xavier Thorpe. À l’époque, Jenna Ortega avait affirmé que cette partie de l’intrigue n’avait aucun sens dans l’histoire de son personnage.

Affirmer sa légitimité

Jenna Ortega s’est également exprimée longuement sur sa décision de devenir une des productrices de la série, et comment le fait d’être comédienne depuis son plus jeune âge, mais aussi une femme, a pu lui donner le sentiment d’être «une marionnette» à certains moments.

«Quelqu’un comme Mercredi m’a forcé à sortir de ma coquille dans un sens. Être une jeune femme dans cette industrie fait que, parfois, les gens ne vous prennent pas au sérieux ou ne sont pas ouverts au dialogue. J’ai eu des conversations folles avec des personnes à propos de… je dois rester à ma place, et je ne sais pas si ou ça, et je ne suis qu’une comédienne. On devient une marionnette. Mais les plus belles expériences que j’ai pu avoir dans ce métier, les choses dont je suis le plus fière, ont toujours été celles où tout le monde peut s’exprimer», précise-t-elle.

À suivre aussi

Ailleurs sur le web

Dernières actualités