Avec un premier album, «Le droit de rêver», écoulé à plus de 300 000 exemplaires et 70 millions de vues sur YouTube, Tal est déjà incontournable. Sa reprise d’Envole-moi de Jean-Jacques Goldman, en duo avec M.Pokora, caracole en tête des hits.
En compétition vendredi pour décrocher deux Victoires de la musique, la chanteuse de 23 ans défendra ses chances sur scène lors de la cérémonie au Zénith de Paris, retransmise à partir de 20h45 sur France 2. Une scène qu’elle rêve de fouler depuis son enfance.
Que représente pour vous cette cérémonie des Victoires de la musique ?
C’est un honneur de pouvoir participer à ce rendez-vous. Contrairement aux NRJ Music Awards (elle a été sacrée révélation francophone de l’année le 26 janvier, ndlr), ce n’est pas le public qui choisit les artistes mais les gens du métier. C’est une pression supplémentaire.
Comment expliquez-vous votre succès ?
Je suis vraiment surprise d’un tel succès. Mon album est déjà triple disque de platine, moi j’espérais simplement atteindre les 50 000 ventes. C’est incroyable. Je crois que nous avons tous besoin de positivité et de lumière. Mes chansons transmettent des messages optimistes, pleines d’espoir. C’est peut-être cela ma force. J’aime partager mon amour pour la musique et pour la vie.
D’où vous vient justement cette envie de chanter ?
Tout a commencé dans le ventre de ma mère (rires). Elle était chanteuse et se produisait alors qu’elle était enceinte de moi. Et depuis, j’ai toujours voulu être sur scène. Petite déjà, je montais sur la table du salon, tenais la télécommande comme un micro et je chantais alors devant mon père et mon frère.
Que trouve-t-on dans votre iPod ?
Je suis une fan inconditionnelle de Michael Jackson. J’écoute aussi Alicia Keys, Bruno Mars, Lenny Kravitz ou Bob Marley. C’est une sélection très éclectique.
A quoi rêvez-vous aujourd’hui ?
Je suis surtout impatiente de faire une grande tournée et de retrouver mes fans. Je travaille également sur un deuxième album sur lequel je compte insérer un titre entièrement chanté en anglais.
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