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Sorhaindo : "On va monter en puissance"

Le pivot de l'équipe de France, Cédric Sorhaindo, le 15 janvier 2014 [Jonathan Nackstrand / AFP]

Cédric Sorhaindo est revenu sur le succès des Bleus contre l’Algérie (32-26). Un match qui a permis aux Experts de se relancer, après le match nul contre l’Islande, et de faire tourner son effectif en prévision du choc contre la Suède avec en jeu la première place du Groupe C.

 

Quelle analyse faites-vous de la victoire contre l’Algérie ?

Il y eu des imperfections. Certains joueurs n’avaient eu énormément de temps pour s’exprimer jusqu’à maintenant. Il nous a fallu du temps pour retrouver des affinités et du rythme de jeu. Ce sont des choses que nous n’acquérons pas forcément à l’entrainement. Au final, le plus important était de prendre les deux points. On sait maintenant où nous en sommes et ce que nous devons faire pour aller le plus loin possible.

 

On a senti l’équipe en difficulté en défense… 

Quand il y a beaucoup de changements, comme cela a été le cas face aux Algériens, il faut parvenir à plus communiquer, à être plus rigoureux sur le placement. Ce sont des détails, mais qu’il va falloir travailler. Mais je pense qu’au fur et à mesure, on va monter en puissance.

 

Vous sentez-vous rassuré avant d’affronter la Suède ?

Cette rencontre a surtout permis de ménager certains joueurs et de permettre à d’autres de se jauger avec un peu plus de temps de jeu. Ça permet d’engranger la confiance et de se sentir utile à l’équipe. Car ce n’est pas toujours facile de ne pas jouer.

 

Il va maintenant falloir aller chercher la première place…

C’est important de finir premier, même si au final, qu’on finisse premier ou deuxième du groupe, le huitième de finale sera forcément difficile. Et si on veut aller au bout, peu importe l’équipe qu’on aura en face, il faudra la battre.

 

Les Suédois ont été accrochés par l’Egypte. Ce résultat vous rassure avant de les affronter ?

L’équipe d’Egypte est loin d’avoir démérité depuis le début de la compétition. Elle est très physique, avec un style de jeu auquel la Suède n’était pas habitué. Ça prouve aussi que le niveau de ce Mondial est très élevé et qu’on ne peut pas se permettre de prendre à la légère le moindre match.

 

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