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Nous avons rencontré Marco, le nouveau Bachelor de NT1

Marco est le troisième Bachelor de NT1. [Etienne Janneret / NT1]

Il est de retour. C’est à partir du 29 février à 20h55 que le Bachelor revient sur NT1. Et dans cette troisième saison, c’est Marco, un bel italien de 34 ans, chef d'entreprise accompli, qui va se retrouver face à 22 prétendantes prêtes à tout pour le séduire. Rencontre.

Qu’est ce vous connaissiez de l’émission du Bachelor avant d’y participer ?

Rien du tout. Quand on m’a contacté, on m’a proposé de venir à Paris pour parler un peu avec la production. Et c’est là qu’ils m’ont montré les épisodes, qu’ils m’ont expliqué le concept. J’ai vu les saisons 1 et 2 avec Adriano et Paul. J’ai vu comment l'émission était construite, le cadre, les images, les filles, tout. Après cela, j’avais une vision claire de ce qui m’attendais.

Est-ce que vous pensiez sincèrement trouver la femme avec laquelle vous allez peut-être vous marier et faire des enfants ? Est-ce possible selon vous ?

Moi, je suis un rêveur. Je crois au père noël encore, peut-être (rire). Donc j’y crois. Je me suis dit qu’il y avait peut être une chance sur un milliard, mais je me suis justement dit qu’il y en avait une. Le hasard a voulu que, moi, je participe à cette émission. Et que cette fille, qui n’a rien à voir avec la téléréalité, aussi. Elle aussi croit pouvoir trouver quelqu’un. Et à la fin, on arrive à créer une étincelle.

Votre charme est évident. On voit comment les filles vous regardent. Pourquoi participer à une telle émission pour rencontrer quelqu’un ?

Je ne pense pas qu’il y ait un Bachelor qui ait déjà appelé NT1 pour leur demander de participer à l’émission pour trouver une fille parce qu’il est en galère (rire). C’est une opportunité qui se présente. Et on se dit « mais non, j’en ai pas besoin. J’ai déjà ma vie, etc. ». Mais après, quand on voit le concept de l’émission, avec la possibilité de rencontrer l’amour, et de vivre une expérience incroyable qui ne se présente qu’une fois dans la vie d’un homme, je me suis dit « ok, on verra ». Je suis un aventurier. Au pire, cela me fera une histoire pour rigoler avec mes amis pendant des années. Je prends tout ça avec de l’ironie. Après, j’ai une entreprise, et je souhaitais faire attention à cette image. J’ai du respect pour les anciens Bachelors, et je me suis dit que ce serait bien de tenter cette expérience.

Vous avez déjà été amoureux ?

Oui. J’ai eu des histoires différentes. J’ai déjà été amoureux avant de participer au Bachelor. Je me suis engagé, j’ai vécu avec certaines. Mais aujourd’hui, ma vie est assez compliquée car je voyage beaucoup. J’arrive à Berlin, je rencontre un fille. Et après deux jours, je repars. Je vais à Londres, je rencontre une autre personne. L’autre disparaît. C’est très difficile de construire une histoire.

Adriano et Paul avaient un peu le même problème. A savoir qu’ils travaillaient beaucoup, qu'ils voyageaient énormément, et que cela leur à jouer des tours car, dans la vie de tous les jours, ils sont plutôt absents. Être en couple avec quelqu’un comme vous, c’est être avec quelqu’un qui est régulièrement en déplacement. Et ça, c’est potentiellement un problème, du moins pour certaines filles. Vous en avez parler avec elles ou pas ?

Oui. Il y a deux cas. Je voyage, je fais plein de choses, des amis m’invitent les week-ends, etc. parce que je suis célibataire. Je n’ai pas une femme à laquelle je tiens, dont je suis amoureux. C’est sûr que, si j’avais une femme, je ne ferais pas comme ça. J’essaierais de réduire mes déplacements, de l’emmener avec moi, de trouver des compromis pour que cela dure. Après, s’il s’agit d’une femme qui déteste prendre l’avion, qui préfère passer ses soirées sur le canapé, c’est non. Et il y a des femmes qui sont très occupés aussi. Elles travaillent, et on se voit le week-end. Aujourd’hui, la vie est un peu plus compliquée. On ne fait pas le même métier toute sa vie, avec les mêmes horaires.

D’accord, mais quand vous parlez d’envie d’enfants, quand on devient parents, il y a des contraintes qui font qu’on doit être à la maison pour s’occuper d’eux...

On en a parlé. A l’heure qu’il est, j’ai encore besoin de m’engager dans le travail pour essayer de concrétiser mes projets. Mais dans deux/trois ans, je serais prêt à avoir un enfant. Si j’en ai un demain, je changerais mes plans. Car j’ai envie d’être père.

Cela veut dire que vous avez trouvé quelqu’un pendant l’aventure ?

Non (rire). J’ai dit «si je trouve quelqu’un». C’est déjà ce que je disais aux filles. Je suis prêt à changer mon style de vie.

 

Qui est Marco ? Le mieux, c’est encore de l’écouter.

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