En direct
A suivre

Sexe : les "coups d’un soir" propices à la dépression

«Les résultats suggèrent que la liberté sexuelle était associée à un bouleversement psychologique et non au bien-être». [[VALERY HACHE / AFP]]

Penser que les relations libres et les coups d’un soir font du bien au moral serait une erreur. En réalité, ils seraient plutôt la cause d’anxiété, de phobie sociale et de dépression, selon une étude américaine.

 

Les jeunes gens qui se laissent aller au sexe occasionnel sont davantage sujets à des états dépressif ou d'anxiété que les autres. Voici l'une des conclusions d’une étude américaine dirigée par Melina Bersamin et rapportée par le Daily Mail.

Les spécialistes ont enquêté auprès de 3.900 étudiants hétérosexuels de 30 établissements américains. 11% d’entre eux ont affirmé avoir eu une aventure au cours du mois précédent. L’étude révèle que cette partie du panel a particulièrement traversé des périodes dépressives ou d’anxiété.

 

Filles comme garçons touchés

«Il est encore trop tôt pour conclure que ce comportement sexuel a forcément une incidence psychologique nuisible et qu’il comporte des risques pour les jeunes gens» mais les enquêteurs ont relevé plus de cas d’anxiété et de dépression parmi les étudiants qui avaient eu un rapport sexuel avec une personne qu’ils ne connaissaient pas.

Par ailleurs, l’étude confirme que les individus des deux sexes sont sujets à des séquelles psychologiques après des "coups d’un soir", ou « casual sexuality » chez les Anglo-saxons. Cependant, les femmes ont déclaré avoir moins souvent de relations d'un soir que les hommes. 

 

Le Top 5 des people addicts au sexe

Des cours de porno à la fac

Rocco Siffredi lance un vin au "profond érotisme"

Clara Morgane reprend Gainsbourg dans un clip sexy

 

À suivre aussi

Ailleurs sur le web

Dernières actualités