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Top 14: Au Racing Métro, Travers estime que "Chaque année apporte son lot de pression"

L'entraîneur du Racing Métro 92 Laurent Travers avant le match de Coupe d'Europe contre les Harlequins le 7 décembre 2013 à Nantes [Jean-Sebastien Evrard / AFP] L'entraîneur du Racing Métro 92 Laurent Travers avant le match de Coupe d'Europe contre les Harlequins le 7 décembre 2013 à Nantes [Jean-Sebastien Evrard / AFP]

Les entraîneurs du Racing-Métro n'ont pas plus ou moins de pression cette saison que lors du dernier exercice puisque "chaque année apporte son lot de pression", a estimé lundi le coach des avants Laurent Travers.

Attendus au tournant la saison dernière pour leur premier exercice à la tête des Ciel et Blanc après avoir été sacrés champions de France avec Castres, Travers et l'entraîneur des arrières Laurent Labit avaient finalement accroché une demi-finale du Top 14 (perdue contre Toulon 6-16) après six premiers mois difficiles.

"L'an dernier, on nous disait que ça allait être difficile, (on se demandait) si les entraîneurs allaient être capables de gérer un groupe avec énormément de qualités et de capes. La question de la pression a été posée. Derrière il y a une qualification (pour les barrages) et une demi-finale. Et cette année, on se demande s'ils vont être capables (de confirmer)...", a déclaré Travers lors d'un point presse.

"Chaque année apporte son lot de pression. On a choisi de venir au Racing-Métro, les joueurs ont choisi, donc, c'est normal qu'il y ait la pression. C'est pour ça qu'on aime ce métier, sinon on s'ennuierait. Donc, on espère que le Racing sera toujours aussi médiatique", a poursuivi l'entraîneur des avants.

Si "l'objectif est avant tout le classement", Travers a cependant souhaité que son équipe s'améliore offensivement après s'être surtout reposée sur son assise défensive la saison dernière.

"Bien sûr qu'il faut qu'on soit capables d'être meilleurs dans le secteur offensif. On était peut-être l'équipe avec le moins de bonus offensif" (le Racing n'en avait pris qu'un, comme Bayonne, Grenoble et Oyonnax, alors que Biarritz n'en avait glané aucun), a reconnu Travers.

"Donc, c'est qu'on ne marquait peut-être pas assez d'essais, mais ce qui est sûr c'est qu'on gagnait les matches. Si je peux avoir le même le résultat en nombre de victoires, ça m'ira très bien", a-t-il ajouté.

Le Racing-Métro se déplacera à Montpellier samedi (20h45) pour le compte de la 1re journée de Top 14.

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