![Corentin Horeau (g) et son coéquipier Michel Desjoyeaux sur leur monocoque avant le départ de la Transat AG2R, le 6 avril 2014 à Concarneau [Jean-Sébastien Evrard / AFP/Archives]](http://static.cnews.fr/sites/default/files/directmatin/image_placeholder_rect_basic.gif "Corentin Horeau (g) et son coéquipier Michel Desjoyeaux sur leur monocoque avant le départ de la Transat AG2R, le 6 avril 2014 à Concarneau [Jean-Sébastien Evrard / AFP/Archives]")
Corentin Horeau/Michel Desjoyeaux, tenants de la route nord, étaient toujours en tête de la Transat AG2R jeudi soir, mais la majorité de la flotte, plus au sud, progressait à vitesse grand V vers l'arrivée à Saint-Barthélemy dans des alizés musclés.
Les "nordistes" luttaient au près dans des vents mollassons tandis que les "sudistes" surfaient à bonne vitesse dans une brise soutenue. La différence de vitesse était significative: entre 4 et 7 noeuds pour les cinq tandems ayant opté pour le nord, entre 10 et 12 noeuds pour les neuf duos ayant choisi de descendre dans le sud.
Les "nordistes" sont plus près de l'arrivée mais les "sudistes" avancent plus vite et rattrapent leur retard d'heure en heure, avec des pointes à 15 noeuds sous spinnaker. Verdict dans quelques jours.