![Marine Le Pen, présidente du Front National.[STEPHANE DE SAKUTIN / AFP]](http://static.cnews.fr/sites/default/files/directmatin/image_placeholder_rect_basic.gif "Marine Le Pen, présidente du Front National.[STEPHANE DE SAKUTIN / AFP]")
La leader frontiste a clôturé l'université d'été du Front national de la Jeunesse. Dans son discours, elle a de nouveau appelé à la dissolution de l'Assemblée nationale.
L’objectif était clair : se présenter comme un parti apte à prendre le pouvoir. L’université d’été du Front national de la Jeunesse, qui s’est tenue ce week-end à Fréjus, a été l’occasion pour les responsables du mouvement, Marine Le Pen en tête, de rassembler leurs troupes avant de se lancer à la conquête des plus hautes fonctions.
Si l’exclusion d’une journaliste de Mediapart a suscité la polémique, la dirigeante du FN s’est néanmoins montrée très sûre d’elle. «Nous avons la possibilité de créer de nouveau la surprise», a-t-elle martelé.
Portée par un récent sondage Ifop pour Le Figaro qui la donnait en tête quel que soit le cas de figure à l’élection présidentielle de 2017, Marine Le Pen a appelé François Hollande à «rendre la parole aux Français et dissoudre l’Assemblée nationale».
En dépit des récentes polémiques sur la gestion de plusieurs villes conquises par des maires frontistes en mars dernier, notamment Hayange, la présidente du parti a également défendu le bilan de ses édiles.