Retrouvez en direct tous les annonces, les polémiques, les meetings, les petites phrases… de l'élection présidentielle.
22:02 : Dans un entretien au Parisien de demain, Valéry Giscard d'Estaing explique pourquoi il votera Sarkozy au deuxième tour. « On nous offre le choix entre deux approches : la facilité ou le redressement. La première est plus tentante. En période de crise, les gens préfèrent d’ailleurs tout changer. Mais une politique de facilité nous conduirait à l’aventure. Elle nous ferait montrer du doigt par tous les experts. Elle nous exposerait à des manœuvres du milieu de la spéculation internationale. Ne nous y trompons pas : la France est sur la liste après la Grèce, le Portugal, l’Italie et l’Espagne. Dans ce contexte, une politique de facilité serait interprétée comme une fragilité. A l’inverse, une politique de redressement permettra à la France et aux Français de s’en sortir dans de meilleures conditions », a dit l'ancien président de la République.
21:20 : François Bayrou a envoyé aujourd'hui une lettre à François Hollande et Nicolas Sarkozy. « Je ne crois nullement que la crise financière soit derrière nous. Je pense au contraire que la crise est devant nous, et qu'elle sera très dure. Je pense que les déficits, commerciaux et budgétaires, qui s'accumulent pour notre pays menacent à court terme notre modèle social et que la multiplication des promesses non financées aggravera encore ce risque», a notamment écrit le candidat MoDem à l'élection présidentielle.
20:28 : "L'élection présidentielle, c'est pas un tandem", a répondu Nicolas Sarkozy lorsuq'on lui a demandé s'il comptait annoncer le nom de son Premier ministre avant le second tour.
20:23 : "La rigueur, c'est une erreur. Il faut réduire les dépenses publiques.[...] Il faut réduire nos dépenses et rembourser nos dettes", a expliqué Sarkozy.
20:14 : Nicolas Sarkozy a réaffirmé sa position sur le vote des étrangers. "Ca veut dire qu'on prend le risque, à un moment très sensible pour notre société, d'un vote communautaire", a-t-il dit.
20:12 : "Je ne considère pas comme offensant pour un Français d'avoir voté pour une candidate (Marine Le Pen) dont je ne partage pas le point de vue", a affirmé Nicolas Sarkozy sur TF1.
19:20 : SOS Racisme a appelé à battre Nicolas Sarkozy. L'association de lutte contre le racisme réagit aux propos du président sortant affirmant que le Front national est compatible avec la République. Dans un communiqué, l'association estime que "Nicolas Sarkozy a franchi une ligne rouge que jamais aucun président de la République ni aucun candidat républicain à l'élection présidentielle n'avait franchie". "Face à cette déclaration lourde de sens, le bureau national de SOS Racisme a été réuni ce jour en urgence et a décidé d'appeler à voter contre Nicolas Sarkozy pour le 2ème tour de l'élection présidentielle", ajoute le communiqué.
18:55 : Dans une interview à Direct Matin, Martine Aubry a rejeté l'idée d'un débat avec Jean-François Copé déclarant que cela n'avait "pas de sens".
18:30 : Jean-François Copé veut débattre avec Martine Aubry. Dans un communiqué, le secrétaire général de l'UMP a officiellement demandé, "Au nom de la démocratie", à Martine Aubry, premier secrétaire du PS, de débattre avec lui". "Après les reculades de François Hollande, un refus de Martine Aubry signifierait que François Hollande et le PS ont peur de débattre devant les Français. La raison est simple : ils cachent la vérité aux Français, ils n'assument pas leurs positions idéologiques, comme le droit de vote des étrangers, la sortie du nucléaire, le matraquage fiscal des classes moyennes ou les hausses de cotisations sociales qui pèseront sur les salaires", affirme encore Jean-François Copé.
18:15 : Pour Roselyne Bachelot, le 1er mai n'est "plus vraiment la fête du travail" et est désormais "une manifestation contre le gouvernement". "Nicolas Sarkozy a voulu que cette fête soit vraiment celle du travail", a-t-elle ajouté.
18:00 : Le Conseil Constitutionnel a proclamé les résultats définitifs du premier tour de l'élection présidentielle. François Hollande a recueilli 10.272.705 voix, et Nicolas Sarkozy 9.753.629.
17h45 : Le débat de l'entre-deux-tour aura lieu mercredi 2 mai. Il sera diffusé sur TF1 et France, et animé par Laurence Ferrari et David Pujadas. Le communiqué des deux chaînes ajoute : "Le signal de ce débat sera mis gracieusement à la disposition des chaînes d'information en continu et des radios qui en feront la demande et qui souhaitent le diffuser simultanément"
17h35 : François Hollande, qu'il soit élu ou non, passera la soirée électorale du dimanche 6 mai dans son fief de Tulle.
17h19 : S'il est élu, François Hollande initiera "'dès le lendemain" de l'élection le départ des soldats français d'Afghanistan
17h13 : Plusieurs associations homosexuelles, dont la plus importante Inter-LGBT appellent à voter François Hollande. L'association qui réunit les homosexuels de l'UMP (Gay Lib) ne donne pas de consigne de vote.
17h07 : Rachida Dati mobilise ses troupes. Dans un courrier envoyé aux adhérents UMP, elle vante le score de Nicolas Sarkozy (58,2%) dans le VIIème arrondissement de Paris, dont elle est maire. Elle appelle à nouveau à la mobilisation pour le second tour : "Il nous reste deux semaines pour convaincre les Français de faire le choix d'un candidat qui n'est pas celui d'un clan mais celui du rassemblement de tous les Français!"
16h50 : François Hollande affirme à nouveau être contre "une règle d'or" budgétaire "constitutionnelle".
16h37 : Le candidat PS veut rompre avec certaines "pratiques" dans les relations entre la France et l'Afrique
16h13 : Hollande dénonce la "course" de Nicolas Sarkozy "depuis dimanche soir" derrière "les électeurs, mais aussi les thèses, les mots et les phrases" du Front national.
16h10 : Jean-François Copé, est présent au meeting de Nicolas Sarkozy à Cernay, il y frôle le lapsus selon RTL Alsace. Le président de l'UMP aurait déclaré : "si le malheur absolu faisait que Ni... François Hollande soit élu président"
16h03 : Hollande aura des discussions "fermes et amicales" avec Merkel
15h53 : Cécile Duflot annonce sur Twitter être en "tractage" pour François Hollande.
15h50 : Hollande se dit satisfait des propos du président de la Banque Centrale Européenne Mario Draghi en faveur d'un pacte de croissance
15h34 : Quatre propositions sur le traité budgétaire seront faites si François Hollande est élu.
15h32 : François Hollande déclare : " Nous créerons une taxe sur les transactions financières".
15h30 : Le candidat PS annonce à sa conférence de presse qu'il déposera un mémorandum aux chefs d'Etats sur la renégociation du traité. Il comportera la création d'euro-bonds.
15h14 : François Bayrou a déclaré à l'AFP trouver "absurbes et offensants" les propos de Sarkozy assimilant ses électeurs à ceux du FN.
15h00 : François Hollande débute sa conférence de presse à Paris.
14h21 : La FNSEA, principal syndicat agricole français, s'est dite inquiète du score du Front National, s'en prenant notamment aux propos anti-européens de Marine Le Pen.
14h09 : Selon, Valérie Pécresse, porte-parole du gouvernement, François Hollande parle de Marine Le Pen et des législatives pour "esquiver le débat" sur son projet présidentiel.
14h03 : Olivier Henno, membre de l'exécutif du MoDem, a dénoncé dans un communiqué la "démagogie" et "l'hypocrisie" du président-candidat Nicolas Sarkozy sur le thème de l'immigration.
14h : Le président du Nouveau Centre, Hervé Morin, a appelé les électeurs centristes et du FN à voter Sarkozy au second tour estimant que le programme du candidat-président peut "sans grand-écart" répondre aux attentes qu'ils ont exprimées dans les urnes dimanche dernier.
13h56 : L'UMP s'est dite choquée par ce qu'elle considère comme une annexion de l'emblématique place du Capitole à Toulouse pour le dernier grand meeting de campagne de François Hollande. "Ils peuvent tout se permettre, notamment d'annexer la place du Capitole", a souligné l'ancien maire et actuel chef de l'UMP de la Haute-Garonne, Jean-Luc Moudenc, en parlant des socialistes locaux, "hégémoniques" selon lui.
13h53 : Le secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé, a mis en cause le traitement par certains médias, et notamment France 2, de l'élection présidentielle, accusant certains "d'organiser avant l'heure l'enterrement" de l'UMP et de son candidat, Nicolas Sarkozy.
13h49 : L'Etat devrait créer un Haut-commissariat chargé de la réflexion sur la politique industrielle et assurer aux régions les ressources nécessaires pour piloter l'innovation, a annoncé Alain Rousset, porte-parole de François Hollande sur l'industrie et l'innovation.
13h35 : Le 1er mai a connu peu à peu "une sorte de dérive" qui n'en fait plus "vraiment la fête du travail" et est désormais "une manifestation contre le gouvernement", juge la ministre des Solidarités, Roselyne Bachelot.
13h30 : Dans une interview au Monde à paraître jeudi, Ségolène Royal affirme qu'il ne faut "ni cajoler", "ni dénigrer", ni "insulter" les électeurs du FN, "tout en combattant le poison de ces idées".
13h04 : Deux députés de l'UMP, Eric Ciotti et Franck Riester, ont dénoncé "un appel" supposé "de 700 mosquées" à voter en faveur de François Hollande dont le CFCM ne trouve nulle trace. Le président du Conseil français du culte musulman (CFCM), Mohammed Moussaoui, a déclaré à l'AFP qu'il ne possédait "aucune information concernant un appel à voter pour un candidat".
12h54 : Nathalie Kosciusko-Morizet, porte-parole de Nicolas Sarkozy, assure que la constance est du côté du président-candidat, qui s'adresse "à tous les Français".
12h48 : Marion Le Pen, petite-fille de Jean-Marie Le Pen et nièce de Marine Le Pen, doit être investie jeudi par le Front national pour être candidate aux législatives dans la 3e circonscription du Vaucluse, qui regroupe une partie de Carpentras, selon des sources frontistes.
12h44 : Le député UMP de Paris Bernard Debré s'en est pris à la Une de Libération en déclarant sur son compte twitter "Halte au fascisme de gauche", développant ensuite sur son blog l'opinion selon laquelle le quotidien "tourne au 'fascisme rouge'".
12h40 : Le conseiller spécial de François Hollande, Jean-Marc Ayrault, a demandé d'arrêter d'"instrumentaliser la question migratoire à chaque élection".
12h33 : Le secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé, a dénoncé l'appel de la CGT à "battre" Nicolas Sarkozy au second tour de la présidentielle, demandant que le temps de parole de la confédération syndicale soit décompté de celui du candidat PS, François Hollande.
12h25 : L'ancienne ministre Rachida Dati a affirmé qu'il ne pouvait clairement "pas y avoir d'accord" entre l'UMP, et le Front national dans l'optique des législatives, dénonçant "les valeurs portées par le FN", comme "l'immigration zéro".
11h39 : La présidente du Front national, Marine Le Pen, a appelé Nicolas Sarkozy et le patron de l'UMP Jean-François Copé a indiquer "clairement" s'ils appelleraient à voter PS en cas de duels PS/FN au second tour des législatives.
11h36 : L'amicale gaulliste du Sénat, présidée par l'ex-président de la Haute assemblée, Gérard Larcher, et qui regroupe des sénateurs UMP et d'anciens sénateurs appelle dans un communiqué, à voter pour Nicolas Sarkozy au 2e tour de la présidentielle.
11h30 : L'écrivain Denis Tillinac, chiraquien devenu sarkozyste, exhorte Marine Le Pen à soutenir Nicolas Sarkozy et fustige ceux qui ont traité les militants FN "comme des parias", dans une lettre ouverte à la candidate du Front national publiée par le Figaro.
11h30 : Michel Sapin, un proche du candidat PS François Hollande, a jugé sur LCI que Nicolas Sarkozy avait employé le terme de "vrai travail" par "manque de culture", alors qu'il aurait dû savoir que cette notion de "vrai" renvoyait à "la période de l'entre-deux-guerres".
11h24 : Le député socialiste de Saône-et-Loire, Arnaud Montebourg, estime que Marine Le Pen (FN) va "dévorer" Nicolas Sarkozy, car "elle est plus forte que lui".
10h44 : Xavier Bertrand conseille à Bernard Thibault, numéro un de la CGT, de "s'occuper de sa maison" où il a créé "un bazar pas possible" plutôt que de faire de la politique.
10h33 : François Hollande appartient à la "gauche sérieuse" soucieuse de "responsabilité budgétaire" et le déficit sera inférieur à 3% du PIB en 2013, si le candidat socialiste est élu, a affirmé sur RTL son directeur de campagne, Pierre Moscovici.
9h55 : François Hollande appelle à un rassemblement "le plus large possible" le 6 mai, dans sa profession de foi de deuxième tour rendue publique mercredi, car "cinq ans de plus" du sortant seraient "cinq ans en pire".
9h20 : François Hollande a indiqué qu'il respecterait ce que "dira ou fera" François Bayrou pour le second tour, ne voulant "pas faire pression" sur le président du MoDem, et a souligné qu'il œuvrerait en faveur de la "moralisation" de la vie politique.
9h02 : François Hollande a jugé qu'il y avait "trop d'ambiguïtés" à l'UMP sur la position à tenir en cas d'éventuels duels avec le FN aux législatives et a déploré que son rival, Nicolas Sarkozy, essaie de "séduire" jusqu'aux "dirigeants de l'extrême droite"
9h : Dans une interview au Parisien-Aujourd'hui en France, le député européen Daniel Cohn-Bendit souligne que le président du MoDem, François Bayrou, doit faire un choix pour le 6 mai, sinon "il choisit la droite" et "prend le risque" d'une réélection de Nicolas Sarkozy.
8h56 : Frédéric Lefebvre estime que "François Hollande vise le vote communautaire" en "confirmant sa volonté d'accorder "dès 2013" le droit de vote aux étrangers non communautaires pour les élections municipales.
8h54 : François Hollande, a promis qu'il ne laisserait "pas faire" un "cortège de plans sociaux" qui serait en préparation et dont l'annonce serait différée à l'après-présidentielle. "Je ne laisserai pas faire ce cortège de plans sociaux qui aurait été différé et il y aura des responsabilités à prendre au sommet des entreprises", a-t-il expliqué.
8h25 : Interrogé sur le Front national, Nicolas Sarkozy a souligné qu'il n'y "aura pas d'accord" avec le parti de Marine Le Pen et "pas de ministre" issu du FN dans son gouvernement s'il était élu.
Le président candidat a en revanche revendiqué le droit de parler aux électeurs du FN. "Je refuse de diaboliser les personnes qui ont voté pour Marine le Pen. Je dois les écouter, les entendre.
8h22 : A son tour, le ministre UMP, Xavier Bertrand, a vivement critiqué le journal Libération, assurant que le PS n'a plus besoin de tracts, et a lancé: "autant l'imprimer en rose !"
8h15 : "Le 1er mai a-t-il été privatisé par Mr Hollande ou Mr Thibault ?", a ironisé Nicolas Sarkozy sur France Info, alors qu'on lui posait une question sur la polémique suscitée par l'annonce de rassemblement le 1er mai autour du "vrai travail". Retrouvez le calendrier politique de l'entre-deux tours.
8h11 : Nicolas Sarkozy est l'invité de France Info. Interrogé sur l'éventuelle faillite de l'entreprise Néo Sécurité, le candidat a indiqué qu'il recevrait "le patron bien volontiers. S'il le souhaite, demain".
8h04 : Interrogé sur France 2, François Hollande affirme qu'il envisage pour "2013" sa réforme institutionnelle donnant le droit de vote aux étrangers aux élections locales. "Il n'y a pas d'échéance particulière, mais je dirais en 2013, avant les élections de 2014, puisqu'il y a des élections locales qui sont prévues en 2014".
7h30 : Quelque 150 féministes, issues de la société civile, ont lancé une campagne de mobilisation en vue du second tour de la présidentielle, estimant que "les droits des femmes passent par la gauche" et appelant à voter pour François Hollande.
7h20 : Jean-François Copé, le secrétaire général de l'UMP, accuse le journal Libération de travestir de façon "malhonnête" les propos de Nicolas Sarkozy sur le FN, soulignant que parler aux électeurs FN ne signifie pas faire alliance avec lui. Le journal publie une photo en noir et blanc de M. Sarkozy en une avec la citation suivante: "Le Pen est compatible avec la République". Signé: "Nicolas Sarkozy, 24 avril 2012".