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Dix citations cultes de Fidel Castro

Fidel Castro était un tribun hors pair. [ADALBERTO ROQUE / AFP]

Orateur hors du commun, il a livré des discours de plus de six heures, Fidel Castro a ponctué ses allocutions de formules qui ont fait sa légendes. Florilège. 

«Condamnez-moi, peu m'importe, l'Histoire m'absoudra». 

Cette phrase a été prononcée en octobre 1953 lors du procès de Fidel Castro après l'assaut de la caserne de la Moncada qui forgea le début de sa légende. 

«Quand cette guerre se terminera, une autre, bien plus longue et grande, commencera : la guerre que je vais lancer contre les Etats-Unis. Ceci va être mon véritable destin.»

Juin 1958, lettre à Celia Sanchez depuis la Sierra Maestra. 

«La patrie ou la mort !»

Mars 1960, lors des obsèques des victimes de l'explosion du navire français La Coubre dans le port de La Havane, alors qu'il apportait des armes au régime. «Patria o muerte» est devenu un des principaux slogans du régime. 

«Dans la Révolution, tout ; contre la Révolution, rien»

En Juin 1961 dans un message aux intellectuels. 

A lire aussi : Quel avenir pour Cuba après la mort de Fidel Castro ?

«Le socialisme ou la mort ! Le marxisme-léninisme ou la mort !»

Cette phrase a été prononcée en janvier 1989 au moment où l'inquiétude montait face à la situation chancelante du bloc soviétique. 

«Jamais je ne me retirerai de la politique de la Révolution. Le pouvoir est un esclavage et je suis son esclave»

En septembre 1991.

«Même nos prostituées sont passées par l'université».

En 2003, à propos de l'éradication de l'analphabétisme à Cuba, dans u nentretien avec le cinéaste américain Oliver Stone pour son documentaire «Comandante». 

«J'ai connu deux Saint dans ma vie, Jean Paul II et Mère Teresa». 

Fidel Castro a toujours manifesté de la sympathie à l'égard de l'ancien pape, qu ia effectué une visite à Cuba en 1998.

«Bientôt j'en aurait fini comme tous les autres. Notre tour viendra, à tous».

Lors de son apparition à la clôture du Congrès du parti communiste le 19 avril 2016.

«Le petit Bush», «le Fürher», «l'Idiot», «l'Imbécile», «le César»

Il s'agit des sobriquets que Fidel Castro utilisaient pour qualifier George W. Bush.

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