Le fabricant français de cartes SIM Gemalto confirme mercredi avoir subi plusieurs "attaques sophistiquées" en 2010 et 2011, mais qui n'ont pas débouché sur "un vol massif", contrairement à ce qu'ont laissé penser des documents publiés la semaine dernière.
The Intercept, un site de journalisme d'investigation se basant sur des documents fournis par Edward Snowden, a affirmé le 20 février que le leader mondial du secteur avait subi un piratage massif des services de renseignement américain et britannique, dans le but d'espionner des conversations téléphoniques.