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Des prénoms interdits en Nouvelle-Zélande

Des bébés dans une maternité [Didier Pallages / AFP/Archives]

«Queen Victoria», «Lucifer», «V8» ou encore «Anal», tous ces prénoms sont désormais interdits en Nouvelle-Zélande.

Les autorités du pays ont dévoilé, hier, une liste de prénoms proscrits en raison du préjudice qu’ils seraient susceptibles de causer aux enfants.

Le ministère de l’Intérieur néo-zélandais a estimé que les parents ne pourraient plus appeler leur progéniture «Justice», «Christ», «Messie», «*» (astérisque) ou «.» (point final).

Les personnes à la tête d’une famille nombreuse ne seront plus autorisées à appeler leur descendance «2nd», «3rd» ou «5th» en fonction de leur place dans la fratrie.

Depuis quelques années déjà, le gouvernement néo-zélandais se bat contre les prénoms absurdes puisqu’en 2008, un tribunal aux affaires familiales avait ordonné le changement de prénom d’une fillette de 9 ans, baptisée «Talula fait la danse Hula de Hawaï».

Le juge en avait profité pour énumérer d’autres prénoms pour le moins originaux comme «Abris de bus de la ligne 16» ou «Chardonnay de minuit».

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