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Un cannibale pédophile terrorise la Papouasie-Nouvelle-Guinée

Des personnes s'accrochant à des barreaux (photo prétexte). Des personnes s'accrochant à des barreaux (photo prétexte).[AFP]

L'île de Papouasie-Nouvelle-Guinée est sous le choc. Steven Tari, ancien gourou, accusé de viols et d'actes de cannibalisme visant certaines de ses jeunes adeptes, s'est échappé de prison. Terrorisée par celui que l'on surnomme "Jésus Noir", la population locale craint qu'il ne commette à nouveau d'autres forfaits.

Steven Tari est toujours introuvable et la crainte des Papouasiens Néo-Guinéens demeure intacte. "Il est très dangereux et pourrait être armé", a d'ores et déjà prévenu Jacob Bando le chef de la police locale.

Arrêté en 2007 et condamné trois ans plus tard à 10 ans de prison pour viols (les preuves n'était pas suffisantes pour le juger pour meurtre), Stephen Tari s'est échappé avec plusieurs affidés jeudi dernier. Les fuyards ont profité de la relève des surveillants de prison pour déjouer leur attention. Ils auraient ensuite découpé la clôture de l'établissement pénitentiaire. 

Steven Tari était à la tête d'une secte dont la réputation terrorisait toute la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Ses membres étaient des cannibales et pratiquaient des sacrifices rituels. Selon le DailyMail, Tari avait même réussi à persuader la mère de l'une des jeunes filles qu'il a violées... de boire son sang.

Les actes de ce type sont assez fréquents en Papouasie-Nouvelle-Guinée où la sorcellerie est très répandue. En juillet dernier, la police avait arrêté les membres d'une secte soupçonnée d'avoir tué au moins sept personnes, pour manger leur cerveau et préparer une soupe avec leur pénis.

 

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