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Elodie : Paul serait en couple avec une fille qu'elle connaît "plutôt pas mal". 2/2

Élodie ne lâchera pas de nom, mais il semblerait bien que le Bachelor soit en couple avec une fille qu'elle connaît bien.[© Julien KNAUB / NT1]

Elle est un peu la «peste» de cette édition du Bachelor. Elodie revient pour DirectMatin.fr sur son aventure, évoque ses projets, et accessoirement, révèle que Paul est en couple.

 

Vous regardez l’émission ?

Absolument. Et c’est perturbant et amusant à la fois de revivre tout ça.

 

Vous vous retrouvez dans les images diffusées ?

Je me retrouve absolument. J’en suis d’ailleurs très heureuse. Tout mon entourage me dit «c’est toi». Après il y a ce côté peste qui ressort un peu plus. Mais sinon, c’est moi. C’est vraiment ce que j’ai vécu et je trouve que c’est bien transposé. Je revis mon aventure une deuxième fois et exactement de la même façon. Après, il y a plein de choses qui se sont passées et que vous ne pouvez pas voir parce qu’ils ne peuvent pas tout montrer sinon, l’émission durerait des heures et des heures (rires).

 

Que faîtes-vous depuis et quels sont projets ?

Tout se passe très bien depuis la fin du tournage. Je suis très heureuse. Surtout depuis la diffusion, puisque ça nous replonge dedans, et c’est super. Il y a de nouvelles opportunités et perspectives qui s’offrent à nous.

 

Quand vous dîtes « nous » vous parlez de qui ?

De moi, des «bachelorettes», nous tous finalement, parce qu’il y a un changement qui se fait naturellement. Pour ma part, je reste RP (relations publiques). C’est un métier que j’apprécie beaucoup et que je peux exercer n’importe où. Et quand on est sociable, il peut ouvrir beaucoup de portes.

Et ensuite, pourquoi pas devenir chroniqueuse si on me le propose, et s’il y a quelque chose qui m’intéresse, ou que je puisse intéresser quelqu’un plutôt (rires).

 

Quand vous commencez l’émission, vous pensez que cela peut vous servir de tremplin pour une future carrière à la télévision ?

Au début, pas du tout. Après je suis RP, je sais que ça va forcément avoir un impact qui sera bénéfique pour moi. Mais je vis les choses comme elles viennent, donc je ne me suis pas dit que j’allais devenir une star et que j’étais la future Madonna (rires), pas du tout. J’ai quand même les pieds sur terre et je ne suis pas folle.

En fait, c’est surtout à la fin du tournage. C’est vrai que c’est une ambiance particulière et c’est ce qui m’a manqué le plus. Moi, j’étais très à l’aise devant les caméras, je ne les voyais plus, en interview, je n’ai aucun mal à m’exprimer. Et c’est vrai que je me suis dit que c’était un métier attirant et que cela me plaisait. Et si un jour j’ai une opportunité, je ne dirais pas non. C’est plus comme ça que cela s’est passé pour moi.

 

D’autres candidates avaient déjà fait de la télévision avant cette émission. Avez-vous eu le sentiment qu’elles étaient là pour gérer la suite de leur carrière ?

Justement, j’ai été très étonnée parce que je sais que moi, je ne suis pas venue en me disant «je vais passer à la télé, je vais devenir une fille de téléréalité», parce que c’est quand même une image un peu difficile à assumer. Et puis tant que la diffusion n’est pas faite, on ne sait jamais quelles vont être les retombées.

Et c’est vrai qu’au départ, on sentait que beaucoup de filles étaient juste là pour passer à la télévision. Certaines sont restées plus longtemps, elles se sont fait prendre au jeu, et ont été plus sincères par la suite.

D’autres filles au contraire ont tout fait pour rester le plus possible juste pour passer à la télévision alors qu’elles n’en avaient rien à faire de Paul et qui le disaient clairement hors caméras. J’avais un peu plus de mal avec ces filles là parce que, moi, je suis dans la franchise et l’honnêteté, et que s’il ne m’avait pas plu, je ne serais pas rester. J’ai ma vie et elle me plaît

 

Paul, célibataire ou en couple ?
C’est une question à laquelle je ne peux pas répondre.

Vous ne pouvez pas me dire au moins s’il est avec quelqu’un ?
Je pense.

Et vous la connaissez bien ou pas ?
Je pense que je la connais plutôt pas mal. Effectivement.

Pas de noms, pas aujourd’hui ?
Pas aujourd’hui, non. Mais rappelez-moi dans quelques semaines. On en reparlera (rires).
 

 

Lire la 1ère partie de l'interview

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