Un professeur de Bordeaux, mardi par un de ses élèves, a indiqué jeudi à l'AFP qu'il allait solliciter un entretien "constructif et courtois" avec le ministre de l'Education, Vincent Peillon, pour discuter des enjeux de l'école, à la lumière de son incident.
Christophe, 36 ans, qui n'a pas souhaité donner son nom, a expliqué être "totalement indemme" physiquement mais "très amer" moralement, 48 heures après son agression , dûe selon lui essentiellement à un "raidissement" momentané de son élève, en proie à des difficultés familiales et personnelles.