Place désormais aux choses sérieuses. Cinq jours après leur rentrée réussie avec un succès en amical en Italie (1-3), les Bleus attaquent, mardi soir, en Biélorussie, les éliminatoires de la Coupe du monde 2018 organisée en Russie avec pour unique objectif de se qualifier.
Didier Deschamps a d’ailleurs fixé le cap dès le coup de sifflet final à Bari. «Bon match de rentrée. Tout n’est pas parfait mais bravo à l’ensemble du groupe. Maintenant vous savez ce qui nous attend», a lancé dans le vestiaire le sélectionneur tricolore comme pour maintenir Paul Pogba et ses coéquipiers sous pression à l’entame de cette nouvelle aventure.
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Car le déplacement sur la pelouse de la Borisov Arena ne sera pas une partie de plaisir face à un adversaire désireux de mettre à mal leur tout nouveau statut de vice-champions d’Europe.
Comme en septembre 2013 lorsque les protégés de Deschamps, menés par deux fois au score, ont dû s’employer pour arracher une précieuse victoire lors des éliminatoires pour le Mondial 2014 (2-4). Et cette rencontre s’annonce d’autant plus compliquée que les Biélorusses, en plein championnat, devraient être au point physiquement, ce qui n’est pas forcément le cas des Français tout juste en phase de reprise.
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«La Biélorussie va forcément nous donner du fil à retordre et vendre chèrement sa peau, a confié Olivier Giroud. Je me souviens du match de 2013, cela avait été difficile. On s’attend à un match compliqué mais à nous de le rendre facile.» Et ainsi se lancer idéalement dans le groupe A, où seul le premier décrochera directement son billet pour le Mondial.
.@dimpayet17: "Après l'Euro, on veut surfer sur cette vague" #BIEFRA
Biélorussie - France
demain à 20h45
@TF1 pic.twitter.com/cT8pL9VgFQ— Equipe de France (@equipedefrance) 5 septembre 2016