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Madrid : Rodriguez espère jouer avec… Falcao

James Rodriguez lors de sa présentation aux public de Madrid, fin juillet. James Rodriguez lors de sa présentation aux public de Madrid, fin juillet. [PIERRE-PHILIPPE MARCOU / AFP]

Interrogé par la quotidien madrilène As, James Rodriguez évoque sa joie d’évoluer prochainement sous les couleurs du Real. Et espère, pourquoi pas, y voir débarquer son compatriote Falcao.

 

Le Real Madrid a de l’appétit, ses joueurs aussi. Révélation de la dernière Coupe du Monde au Brésil, l’ancien Monégasque James Rodriguez portera la saison prochaine la tunique blanche du Real. Un recrutement colossal (autour de 80 millions d’euros), habituel dans la capitale espagnole, sur lequel revient le Colombien de 23 ans dans une interview accordée au quotidien As.

"Heureux" d’avoir rejoint la Maison blanche, le jeune meneur de jeu avoue être en plein "rêve" et prêt à apporter de nouveau trophée dans la vitrine du club merengue.

Amoureux de la période "Galactique" du Real, l’ancien joueur de Porto avoue son admiration pour les œuvres de Roberto Carlos, de Ronaldo, ou encore de Zidane. Mais pas au point de vouloir faire du copier/coller de ces légendes : "J’admire ces footballeurs, mais je ne veux pas être comme eux", tempère-t-il, bien décidé à inscrire sa patte gauche dans l’histoire du Real, le "meilleur club du monde" à ses yeux. 

 

L’appel du Tigre

Invité à partager l’affiche avec la fameuse BBC (Benzema, Bale, Cristiano Ronaldo) mise en place l’an dernier sur le front de l’attaque madrilène, James Rodriguez voit donc les choses en grand pour son avenir.

Mais aussi pour celui de son compatriote Radamel Falcao, pour l’heure resté du côté de Monaco. "Je suis sûr qu’il peut venir jouer ici (à Madrid)", affirme ainsi James.

Ayant évolué aux côtés du Tigre à Porto puis sur le Rocher, le nouveau numéro 10 du Real est persuadé que ce dernier a le niveau et la mentalité de gagneur pour rejoindre le vestiaire madrilène.

Mais le néo-merengue de tempérer ses ardeurs : "Je ne suis pas celui qui décide, c’est le rôle du président". L’appel du pied, en tout cas, est désormais sûrement dans un coin de la tête de Florentino Pérez. 

 

 

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