Le président du Giec, l'Indien Rajendra Pachauri, visé par une plainte pour harcèlement sexuel, a présenté mardi sa démission qu'il justifie par la nécessité pour l'organisme d'avoir "une direction forte", selon sa lettre de démission envoyée au secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon.
"Le Giec a besoin d'une direction forte, du temps et de l'attention pleine et entière de son président dans un avenir immédiat, ce que, dans les circonstances actuelles, je pourrais être dans l'incapacité de fournir", souligne-t-il dans son courrier.