"Chromosaturation, 1965" par l'artiste Carlos Cruz-Diez exposée au jardin des Tuileries.

La FIAC ouvre ses portes

"Chromosaturation, 1965" par l'artiste Carlos Cruz-Diez exposée au jardin des Tuileries.
"Chromosaturation, 1965" par l'artiste Carlos Cruz-Diez exposée au jardin des Tuileries.[© Carlos Cruz Díez ]
Au total, 28 oeuvres investissent les espaces extérieurs et intérieurs du Jardin des Plantes mais aussi du Muséum national d’Histoire naturelle. Ici "Envelope" de l'artiste Guillaume Constantin.
Au total, 28 oeuvres investissent les espaces extérieurs et intérieurs du Jardin des Plantes mais aussi du Muséum national d’Histoire naturelle. Ici "Envelope" de l'artiste Guillaume Constantin.[THOMAS SAMSON/AFP]
L'oeuvre "Three humps" de David Nash exposée au jardin des plantes.
L'oeuvre "Three humps" de David Nash exposée au jardin des plantes.[THOMAS SAMSON/AFP]
Avec sa nouvelle meurtrière de béton et de miroir pour le Jardin des Tuileries, Nicolas Milhé joue sur une forme empruntée à l’architecture médiévale des châteaux forts.
Avec sa nouvelle meurtrière de béton et de miroir pour le Jardin des Tuileries, Nicolas Milhé joue sur une forme empruntée à l’architecture médiévale des châteaux forts.[© La nouvelle agence
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Les ouvertures sont liées à la défense et à l’attaque, les meurtrières sont également liées à la vision puisqu’elles permettent de voir sans être vu.
Les ouvertures sont liées à la défense et à l’attaque, les meurtrières sont également liées à la vision puisqu’elles permettent de voir sans être vu.[© La nouvelle agence
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L’oeuvre exceptionnelle de Jeremy Deller, Sacrilège, sur l’Esplanade des Invalides. Cette oeuvre représente le fameux temple de Stonehenge, monument mégalithique situé au Royaume-Uni.
L’oeuvre exceptionnelle de Jeremy Deller, Sacrilège, sur l’Esplanade des Invalides. Cette oeuvre représente le fameux temple de Stonehenge, monument mégalithique situé au Royaume-Uni.[©Jeremy Deller ]
Place Vendôme, la statue "Istanbul blues, 2012"de l'artiste Jaume Plensa .
Place Vendôme, la statue "Istanbul blues, 2012"de l'artiste Jaume Plensa .[Francois Mori/AP/SIPA]